Michael Nagl
ist an der Opéra national de Lorraine in Nancy
als Papageno in der Neuproduktion „Die Zauberflöte“
zu erleben.
Musikalische Leitung: Bas Wiegers;
Inszenierung: Anna Bernreitner
PREMIERE: 17. Dezember 2021
Weitere Vorstellungen: 19., 21., 23., 26.,28. Dezember 2021
(Koproduktion mit der Opéra Orchestre national Montpellier Occitanie)
PRESSESTIMMEN:
„Force est de reconnaitre que Christina Gansch et Michael Nagl, tous deux de nationalité autrichienne, dominent la distribution de cette Flûte enchantée et délivrent chacun une belle leçon de chant mozartien. Dans le rôle de Pamina qu’on croirait composé pour elle, Christina Gansch peut faire valoir un timbre rond, des aigus arachnéens et des sons filés de toute beauté. Au deuxième acte, son aria « Ach, ich fühl’s » est un moment de grâce absolu qui touche directement au cœur. Tout aussi idiomatique est le Papageno de la jeune basse viennoise Michael Nagl dont l’entrée en scène, suspendu à plusieurs mètres du sol, impressionne autant qu’elle ravit les plus jeunes des spectateurs. Si ses talents de comédiens lui permettent de se couler idéalement dans le personnage d’homme-oiseau que la metteuse en scène a imaginé pour lui, l’artiste impressionne d’abord par la solidité du timbre, le brillant des notes les plus hautes et l’apparente simplicité de la manière dont il délivre la phrase mozartienne sans jamais donner le sentiment de forcer son instrument. Tour à tour enjoué dans « Der Vogelfänger bin ich ja » et bouleversant dans son grand récitatif accompagné « Diesen Baum da will ich zieren », c’est cependant dans le duo « Bei Männern, welche Liebe fühlen » que Michael Nagl se révèle un subtil chanteur et un artiste à suivre.“
— Nicolas Le Clerre, Flûte alors ! C’est déjà Noël à l’Opéra national de Lorraine, in: Première Loge, 20.12.2021
„En tête de distribution, on remarque avant tout le formidable Papageno de Michael Nagl. L’oiseleur est ici influencé par ses proies dont il adopte costume, plumage et mimiques. Un Papageno un peu balourd comme il se doit, très présent et incarné et surtout superbement chantant dans ce rôle vocalement trop souvent sacrifié, assurant toutes le notes d’un timbre riche et séduisant.“
— Michel Thomé, Nancy : La Flûte enchantée chez Walt Disney, in: ResMusica, 20.12.2021
„La bonne surprise vient de Papageno. Certes, la direction d’acteur en gomme la truculence bouffe, l’entrain aussi, mais la voix est splendide. Michel Nagl sait ce qu’il chante, son allemand n’est pas idiomatique comme celui de Tamino et de Sarastro. Et il n’est pas moins noble que ceux-ci.“
— Yvan Beuvard, Tournez manèges !, in: ForumOpera.com, 20.12.2021
„Dès son entrée en scène, Papageno, incarné par Michael Nagl fait rire le jeune public, mais aussi un peu les autres. Le personnage est burlesque par son mimétisme du pigeon durant tout l’opéra -la mise en scène le fait littéralement voler par la suite. Sa voix de baryton lyrique, équilibrée dans le timbre et dotée d’un vibrato qui ne gêne pas une prononciation douce des consonnes, remplit l’espace scénique et musical sans difficulté.“
— William Goutfreind, L’Opéra de Nancy dans la magie de La Flûte enchantée, in: Olyrix, 20.12.2021
„Michael Nagl en Papageno juvénile au timbre clair“
— Bruno Serrou, À Nancy, une « Flûte enchantée » de commedia dell’arte, in: La Croix, 20.12.2021
„Le meilleur des rôles masculins étant le Papageno de Michael Nagl; beau baryton, même s’il manque de gaieté mais c’est la mise en scène qui l’impose: un Papageno mélancolique à souhait, désespéré au premier degré, prêt, sincèrement, au suicide s’il ne trouve pas de petite femme„
— Bertrand Renard, A lOpéra de Nancy une „Flûte enchantée“ de Mozart avec un méchant serpent, un château de conte de fées, une coiffure en croissant de lune…, in: blog.francetvinfo.fr, 20.12.2021
Foto:
Michael Nagl | ©Matthias Baus