Ladislav Elgr | ©Clarissa Lapolla


Jenůfa / Števa Buryja – WA Opera Ballet Vlaanderen Antwerpen und Gent
Dirigent: Alejo Pérez; Inszenierung: Robert Carsen, Juni-Juli 2024

„Ténor plus lyrique, mais également très à l’aise dans la tessiture exigeante de Janacek, le ténor tchèque Ladislav Elgr – grand habitué de la scène anversoise -, incarne avec prestance le volage Steva.“
— Emmanuel Andrieu, Critique, opéra. Anvers, opéra (du 5 juin au 9 juillet 2024). Janacek : Jenufa. A Eichenholz, N. Petrinsky, J. McCorkle, L. Elgr… Robert Carsen / Alejo Perez., in: Classiquenews.com, 10.06.2024

„Ladislav Elgr met sa voix de ténor plutôt mozartien au service de Steva, le bellâtre, riche, séducteur, égoïste, semant le malheur, tout en étant pleutre et incapable d’assumer ses responsabilités. Le rôle est écrit très haut, très tendu, avec des saillies perpétuelles et de longues phrases. Loin de chercher à faire du beau son Ladislav Elgr use toujours d’un timbre métallique caractérisant parfaitement la veulerie du personnage, complétant le son par un visage tordu et fuyant, dans un corps torturé.“
— Joël Heuillon, Jenufa ou la résilience magnanime en Flandre, in: Ôlyrix, 07.06.2024


CD-Veröffentlichung:
L. Janáček „Katya Kabanova“ („Káťa Kabanová“) (LSO Live, LSO0889 / 23.02.2024)
Ladislav Elgr: Kudrajs (Váňa Kudrjáš)
Dirigent: Sir Simon Rattle; London Symphony Orchestra
Live-Aufnahme: Barbican Hall in London, 2023

„Varvara’s lover Kudrjas is sung excellently by the Czech tenor Ladislav Elgr (previously a solid Steva for Rattle), who convinces with his intelligent depiction of the town’s schoolteacher qua-philosopher. Kozená and Elgr’s young lovers delight with their seamless command of the music and text, offering a glimmer of hope amid Kalinovo’s claustrophobic environs.“
— Christian Ocier, review / recording. Katya, later, in: parterre.com | parterre box, 26.02.204

„the only two native Czech-speakers in the cast, Magdalena Kožená and Ladislav Elgr sound appropriately comfortable in their own skins in a world where virtually everyone else is grappling with feelings of alienation and inarticulacy. There’s an easy fluency and pragmatic warmth to their interactions with Katya and Boris respectively, and their Act Two tryst (entirely devoid of the angst which accompanies Katya and Boris’s simultaneous hook-up) speaks of two bodies and souls entirely in tune with one another as the pair trade phrases from folk-song with carefree sensuality.“
— Katherine Cooper, Recording of the week: Janáček’s Katya Kabanova from Simon Rattle and the London Symphony Orchestra, in: prestomusic, 23.02.24


Glagolytische Messe / Solist – Place des Arts, Montréal
Musikalische Leitung: Rafael Payare; Orchestre Symphonique de Montréal, September 2023

„Parmi les exécutants deux protagonistes se sont distingués. D’abord le choeur, admirable, net dans sa prononciation, impeccable dans ses entrées, même dans les moments délicats (Crucifixion) et quasiment héroïque d’être resté juste en intonation dans le Sanctus après une intervention assez flottante des solistes. Ensuite le ténor Ladislav Elgr qui … avait, dès sa première intervention, recadré le sens esthétique de l’oeuvre et notamment des interventions solistes […] L’entrée d’Elgr dans le Gloria a vraiment remis l’interprétation sur les rails de l’énergie, de la franchise et de l’aplomb.“
— Christophe Huss, Le «Sacre» d’un véritable phénomène, in: Le Devoir, 13.09.2023


Lady Macbeth von Mzensk / Sergej – NP Grand Opéra de Genève
Musikalische Leitung: Alejo Pérez; Inszenierung: Calixto Bieito, April-Mai 2023

„Ladislav Elgr als Sergei ist ihr ein ebenbürtiger Partner. Der tschechische Tenor meistert seine Rolle mit einem Realismus, der Angst und Bange macht.“
— Thomas Schacher, Rohe Gewalt und animalischer Sex: Schostakowitschs Lady Macbeth in Genf, in: bachtrack, 02.05.2023

„Ladislav Elgr offre une interprétation pragmatique et sans fioritures du rôle de Serguei, intense pendant à cette Katerina. Son ténor est pleinement seyant pour le rôle, avec son médium froid et calculateur, son aigu plus sauvage et stimulant. Sa présence imposante sur scène, associée à sa maîtrise vocale dépeignent pleinement le portrait de ce personnage qui semble toujours réussir à survivre.“
— Mark Everist, Lady Macbeth triomphe encore de la terrible Mtsensk à Genève, in: Ôlyrix, 03.05.2023

„Das Ensemble könnte besser, pointierter, von seiner Aufgabe entflammter nicht sein: […] Ladislav Elgr als viriler tenoraler Grenzgänger Sergei, dessen sexueller Appetit keine Grenzen und Regeln zu kennen scheint.“
— Peter Krause, Krasse weibliche Befreiungsakte, in: concerti, 02.05.2023

„Mr. Elgr sings the part of Sergey with a bright and slightly edgy sound and no fear of high tessitura.“
— RM Libonati, Shostakovich’s Lady Macbeth of Mtsensk, Grand Théâtre de Genève, 30.04.2023, in: I hear voices, 01.05.2023

„A lui donner la réplique, Ladisslav Elgr (Sergueï) s’engage sans compter tant théâtralement que vocalement. Ne se ménageant pas plus que sa compagne de scène, il déambule vêtu de sa fierté en offrant juste ce qu’il faut pour conserver son image de mâle conquérant.“
— Jacques Schmitt, Formidable Lady Macbeth de Mzensk à Genève, in: ResMusica, 03.05.2023

„Pour interpréter cette œuvre où ne règnent que la domination, le viol et l’humiliation, il faut des acteurs – chanteurs capables de tout donner d’eux-mêmes, y compris exhiber ses parties les plus intimes, ce que Bieito réclame ad nauseam. […] Après Anvers, elle retrouve, à Genève, le Sergueï impressionnant de Ladislav Elgr, mince séducteur priapique dont le timbre possède cette fêlure propre aux fourbes d’opéra comme Loge et Monostatos.“
— Vincent Borel, Lady Macbeth de Mtensk au Grand Théâtre de Genève – A l’Est rien de beau – Compte-rendu, in : Concert Classic, 02.05.2023

„Ladislav Elgr retrouve lui aussi son rôle neuf ans après, il est Sergueï, l’ouvrier dont Katerina fait son amant, puis son mari. « Ils ont beaucoup mûri, le temps leur a donné plus de liberté… et je leur en avais déjà donné beaucoup à l’époque », dit le metteur en scène. En effet, le moins qu’on peut dire est qu’ils y vont carrément, avec une audace plutôt sidérante. Les nudités ne sont pas seulement physiques ici. […] Vocalement on ne peut qu’admirer les performances des chanteurs. Le plus souvent, Ladislav Elgr se cantonne à un chant expressif et expressionniste, parfois assez rugueux, et la partition ne lui offre que peu d’envols solistes. Il aborde son personnage en chanteur-acteur, très athlétiquement. La mise en scène le déshabille volontiers. Cette machine désirante est aussi objet de désir…“
— Charles Sigel, Chostakovitch, Lady Macbeth de Mtsensk – Genève, in : ForumOpera.com, 04.05.2023


Katya Kabanova (Káťa Kabanová) / Kudrjas (konzertant) – Barbican Hall, London
Dirigent: Sir Simon Rattle; London Symphony Orchestra, Januar 2023

„Ladislav Elgr as her appealing Kudrjas – warm sounding, handsome and very much the voice of reason in the chaos around him“
— Tim Ashley, Katya Kabanova review – Rattle and Majeski capture the rapture and chaos of Janáček’s turbulent love story, in: The Guardian, 13.01.2023

„tenor Ladislav Elgr, another Czech, sounded authentic and was sweetly toned in his melodic contributions.“
— John Rhodes, Majestic Majeski utterly supreme as Katya Kabanova for Sir Simon Rattle and the LSO at the Barbican, in: Seen and Heard International, 12.01.2023

„Kudrjas, played with real fervour by Ladislav Elgr“
— Ivan Hewett and John Allison, The CBSO go mountain-climbing, plus the best of January’s classical concerts, in: The Telegraph, 13.01.2023

„There was likewise plenty of intelligence, and a wonderful animating spark, to Magdalena Kožená’s Varvara. She seemed veritably to bring Ladislav Elgr’s Kudrjáš to life, his second-act song delivered with verve and no little charm, Rattle splendidly highlighting the pizzicato accompaniment to help bring it to life.“
— Mark Berry, Katya Kabanova: orchestral drama from the LSO and Sir Simon Rattle, in: Opera Today, 13.01.2023

„Ladislav Elgr and Magdalena Kožená provide some levity in contrast, he as a suavely playful Kudrjas, who has a liaison with her Varvara, perky and knowing, and both offering uncomplicated strains of passion and benevolence in this work.“
— Curtis Rogers, LSO – Sir Simon Rattle conducts Janáček’s Katya Kabanova – Amanda Majeski, Katarina Dalayman, Simon O’Neill & Magdalena Kožená, in: Classical Source, 11.01.2023


Jenufa / Števa Buryja – NP Grand Théâtre de Genève
Dirigent: Tomáš Hanus; Inszenierung: Tatjana Gürbaca, Mai 2022


„Kindsvater Števa leiht Ladislav Elgr seinen charakterstarken Tenor und zeigt dazu, dass er mehr als ein treuloser Mistkerl ist. Er weiß sehr wohl, dass er Mist gebaut hat und wirkt verdammt verlegen, als er seinem Nachfolger Laca dann versöhnlich die Hand reichen soll.“
— Peter Krause, Opern-Kritik: Grand Théâtre de Genève – Jenůfa. Tiefenscharfe Seelenschau, in: concerti, 04.05.2022

„Chez les hommes, les deux ténors Daniel Brenna et Ladislav Elgr rivalisent de talent dans des styles opposés. […] Le Števa d’Elgr, le seul tchèque de la compagnie, adopte un ton complètement différent et cela se voit dans l’exactitude des consonnes si typiques de cette langue, qui font défaut aux autres interprètes. Jouant souvent ce rôle, il exprime à chaque fois des facettes différentes du personnage, en fonction des demandes du réalisateur. En véritable acteur caméléon, il accentue le côté irresponsable du personnage, la lâcheté face à ses actes et la superficialité juvénile, exprimés par une voix dure et tranchante, parfaitement en phase avec le personnage.“
— Renato Verga, Une Jenůfa toute féminine à Genève, in: Première Loge, 06.05.2022

„Ladislav Elgr coped well with Števa’s highly demanding tessitura, also showing his clear remorse in the final act.“
— Stairway to Heaven: Jenůfa at the Grand Théâtre de Genève, in: operatraveller.com, 08.05.2022

„À l’inverse, Ladislav Elgr, dans le rôle de Števa Buryja, présente un chant plus resserré, parfois ponctué de graves rugueux, mais perçant par à-coups, porté avec vigueur et tendu par un jeu particulièrement tonique, interprétant sans vergogne la négligence et la lâcheté du personnage, dans son ivrognerie et sa débauche comme face aux conséquences de ses actes.“
— Lara Othman, Jenůfa entre crime et repentir au Grand Théâtre de Genève, in : Olyrix, 04.05.2022

„L’élan du Števa de Ladislav Elgr ne dissimule pas la veulerie du personnage et conjugue l’éclat aux qualités d’un ténor de caractère.“
— Gilles Charlassier, Jenůfa opéra de Leoš Janáček, in: Anaclase, 07.05.2022

Les deux principaux rôles masculins sont excellement tenus par deux chanteurs très convaincants, chacun dans leur genre : Števa Buryja, qu’aime Jenůfa,, homme volage qui ne l’épousera pas, bien qu’il soit le père de son enfant, est campé de façon très convaincante par Ladislav Elgr – une belle prestance vocale et théâtrale, versant peut-être de façon un peu excessive vers l’ébriété permanente, dans une mise en scène qui en fait l’homme peu fiable et le montre par des gestes indécis, une inquiétante mobilité, un manque de solidité…“
— Hélène Perrakos, Jenůfa ou l’art des alliages, in: WebThéâtre, 09.05.2022

„But both the lead male roles were admirably cast with Czech tenor Ladislav Elgr playing the lascivious Steva and American Wagnerian tenor Daniel Brenna his diligent and honourable half-brother Laca.“
— Fiona Maclean, Jenůfa at the Grand Théâtre de Genève, in: London unattached, 06.05.2022

„Ladislav Elgr interpretiert einen schamlosen Steva Buryia der nicht viel auf die Liebe und Treue hält.“
— Genf/ Opernhaus: Jenufa – Janáčeks psychologisches Meisterwerk, in: Online Merker, 07.05.2022

„Ben riuscito, anche lo Števa di Ladislav Elgr, che rende perfettamente il carattere irresponsabile e imbelle del primo fidanzato della protagonista attraverso un fraseggio esaltato e scattante.“
— Gabriele Bucchi, Ginevra – Grand Théâtre: Jenůfa, in: operaclick.it, 07.05.2022


Jenufa / Števa Buryja – NP Staatsoper Berlin
Dirigent: Simon Rattle; Regie: Damiano Michieletto; Februar 2021

„Števa ist ein Bruder Leichtfuß, aber kein Tunichtgut. Ladislav Elgr (Camouflage-Kittelchen, Sträußlein in der Brusttasche) spielt und singt das packend in aller Partylust und aller stumpfen Verzweiflung.“
— Anton Schlatz, Staatsoper Berlin: Jenůfa Premiere, in: Opern- & Konzertkritik Berlin, 14.02.2021

„Dem Zauber und der Wucht dieser „Jenůfa“ kann man sich schwer entziehen. Von Anfang an spürt man die Last, die auf allen Figuren liegt. […] Selbst der eitle Steva, Jenufas verwöhnter Liebhaber, offenbart in Ladislav Elgrs ausdrucksstarkem Tenor nur das Leiden einer verkorksten Existenz.“
— Bernd Feuchtner, Rattle dirigiert Jenufa an der Staatsoper Berlin, in: KlassikInfo.de, 13.02.2021

„Ladislav Elgr, der mit wohldefiniertem Tenor einen durchschlagenden Steva gibt“
— Michael Bastian Weiß, Simon Rattle: Der kommende Orchestersouffleur, in: Abendzeitung München, 15.02.2021

„Die Stiefbrüder Števa und Laca waren stimmlich und typmäßig völlig konträr besetzt, was für die Glaubwürdigkeit der Handlung wichtig ist. Gibt Ladislav Elgr den feschen Draufgänger Števa, so ist Stuart Skelton der täppische, aber im Kern herzensgute Laca. Beide verfügen über kräftige Tenorstimmen, Elgr hat die schlankere, Skelton die größere.“
— Peter Sommeregger, „Jenůfa“ Unter den Linden: Entkerntes Beziehungsdrama, in: klassik-begeistert.de / klassik-begeistert.at, 14.02.2021

„Števa führt sich mit Machogehabe auf, was Ladislaus [sic!] Elgr in Kurzhaarrasur, Tarnflecken und mit Springerstiefeln augenscheinlich und stimmlich präsent verkörpert. […]
Großartig überhaupt die gesamte Besetzung. Ladislav Elgr als großer schlanker schnittiger junger Mann, der als Enfant terrible alle vor den Kopf stößt“
— Sabine Weber, Sozialdrama mit Kindsmord – Leoš Janáčeks “Jenůfa” spielt sich in Berlin in eiskaltem Raum ab, in: Klassikfavori, 16.02.2021

„Instead it is the ringing timbre of Ladislav Elgr as Števa, sharp as a blade and guardian of the first block of ice, that crumbles as he declines from cool sexpot to snivelling drip across the acts. Elgr’s body language (and Michieletto deserves due credit for this) embodies the encroaching feebleness within a man who’s happy to impregnate but terrified to procreate.“
— Mark Valencia, Rattle conducts a Jenůfa to sear the soul at the Staatsoper Berlin, in: bachtrack, 16.02.2021

„Perfettamente aderenti ai loro personaggi sono i due interpreti: Ladislav Elgr ha fatto di Števa uno dei suoi ruoli di elezione grazie alla lingua madre e alla straordinaria presenza scenica. Il suo canto non conosce bellurie e le frasi gli vengono come strappate fuori dai denti, con una rabbia a stento trattenuta che Michieletto evidenzia quando il giovane alza minaccioso il pugno verso chi gli dice qualcosa che lui non vuole sentirsi dire o quando si accanisce col coltello su un blocco di ghiaccio.“
— Gabriela Preissová, Jenůfa, in: L’opera in casa, 14.02.2021

„Was die Staatsoper Unter den Linden am Samstagabend präsentiert hat – und hoffentlich bald auch vor Publikum spielen wird – das ist künstlerisch nicht zu übertreffen. Aus drei Gründen.
Erstens die Besetzung: Weltstar Camilla Nylund ist eine lyrische und kraftvolle, weiche und bezaubernde Jenufa. Legende Hanna Schwarz spielt eine glänzendgraue Großmutter, Ladislav Elgr einen brutalsimplen Steva, Stuart Skeleton den stetig liebenden Laca.“
— Maria Ossowski, Premierenkritik: „Jenůfa“ an der Berliner Staatsoper. Das ist künstlerisch nicht zu übertreffen, in: BR Klassik, 14.02.2021


Jenufa / Steva Buryja – WA Deutsche Oper Berlin
Dirigent: Donald Runnicles; Inszenierung: Christof Loy, Januar 2020

„Ale i pánové zanechali více než dobrý dojem: Ladislavu Elgrovi (Števa) se obdivuhodně podařilo vystavět velký vývojový oblouk své postavy od bezuzdného frajírka až po psychicky paralyzované klubíčko nervů. Jediný on zůstal z původního premiérového obsazení a vedle příkladného hereckého uchopení své postavy zaujal stejně dobře i pěvecky.“
[Aber die Herren hinterließen auch mehr als einen guten Eindruck: Ladislav Elgr (Števa) baute auf bewundernswerte Weise einen großen Entwicklungsbogen seines Charakters, von einem ungezügelten Typ zu einem mental gelähmten Nervenball. Er war der einzige, der von der ursprünglichen Erstbesetzung übriggeblieben war, und neben dem Verständnis für seine Figur, war er ein vorbildlicher Schauspieler und ebenso gesanglich beeindruckend.]
— Václav Bečvář, Tři Brünnhildy ve skvostné Jenůfě v Německé opeře Berlín, in: OperaJournal.cz, 02.02.2020

„Steva fue interpretado por el tenor Ladislav Elgr, que lo hizo de manera notable, con voz adecuada y atractiva, moviéndose bien en escena.“
[Steva wurde vom Tenor Ladislav Elgr gespielt, der es auf bemerkenswerte Weise tat, mit einer angemessenen und attraktiven Stimme, auf der Bühne gut bewegend.]
— José M. Irurzun, Critica: Con Evelyn Herlitzius, la ópera debería llamarse Kostelnicka, in: Beckmesser.com, 31.01.2020

„Sångligt håller föreställningen däremot mycket hög klass. Robert Watson och Ladislav Elgr gör utmärkta insatser som Laca respektive Števa. Båda herrarna besitter också en “slavisk” timbre, även men om det finns en tydlig kontrast dem emellan.“
[Gesanglich hält die Vorstellung jedoch eine sehr hohe Klasse. Robert Watson und Ladislav Elgr geben als Laca bzw. Števa einen ausgezeichneten Auftritt. Beide Herren besitzen auch ein „slawisches“ Timbre, obwohl zwischen ihnen ein deutlicher Kontrast besteht.]
— Yehya Alazem, Andrea Chénier och Jenůfa på Deutsche Oper Berlin, in: Capriccio.se, 29.01.2020

„Was soll man am heftigsten lieben, was ist das größte Glück an dieser Jenůfa von Leoš Janáček, die jetzt an der Deutschen Oper Berlin wiederaufgenommen wurde? […] Vielleicht die rundum befriedigende Sängerbesetzung: […] den beiden Tenören Ladislav Elgr als Števa, ein so verführerischer wie erbärmlicher Schwächling, doch selbst der nicht verächtlich oder vorgeführt“
— Albrecht Selge, Rundum beglückend: Leoš Janáčeks „Jenůfa“ an der Deutschen Oper, in: hundert11.net, 13.01.2020

„Ladislav Elgr was an extrovert Števa, who coped admirably with the demanding tessitura“
— Small Town Outsiders: Jenůfa at the Deutsche Oper Berlin, in: operatraveller.com, 18.01.2020

Janáček: Glagolitische Messe / Tenor – BBC PROMS, Royal Albert Hall, London
BBC Symphony Orchestra; Dirigentin: Karina Canellakis, Juli 2019

„der wunderbar versierte Tenor Ladislav Elgr und der Bass Jan Martiník boten vokal Beeindruckendes für das perfekte Präsentieren der Musik ihres Landsmannes“
— M. Lehnert, BBC Proms London. First Night of the Proms, in: Das Opernglas, 9/2019


„Best of all was the singing: the soloists (Jennifer Johnston, Asmik Grigorian, standing above, Ladislav Elgr and Jan Martiník) all made distinctive contributions, especially tenor Elgr, whose complex emotional delivery suits Janáček’s disturbing solo lines, but who also has the projection to fill the hall.“
— Gavin Dixon, Prom 1, BBCSO, Canellakis review – space-age First Night, in: the arts desk, 20.07.2019

„The quartet of soloists, above all the tenor Ladislav Elgr, soared heroically over“
— Ivan Hewett, Proms 2019 review: it was out with the grizzled old men, in a First Night that took us to the Moon and back, in: The Telegraph, 20.07.2019

„In fact, one of the features of this BBC Proms performance under Karina Canellakis‘ direction was how beautifully the work was shaped and performed. Some of the most notorious choral passages were not simply negotiated by the BBC Symphony Chorus, but sung musically and expressively. And the same goes for the soloists, particularly Ladislav Elgr who sang the taxing high tenor part in a way which made it seem the most natural outpouring of religious expression. […] The soloists are variously challenged in the piece. […] and I have only the greatest admiration for tenor Ladislav Elgr.“
— Robert Hugill, Prom 1: Karina Canellakis makes history on the opening night of the Proms 2019, in: Opera Today, 20.07.2019

„The evening rounds off with Janacek’s Glagolitic Mass in which soprano Asmik Grigorian and tenor Ladislav Elgr shine very brightly.“
— Michael Church, BBC Proms, review: First night is a finely nuanced success, in: Independent, 20.07.2019

„She [Anm: conductor Karina Canellakis] was blessed with a line-up of soloists that went from the fine to the exceptional. The two clearly in the latter category were the soprano soloist, the Lithuanian soprano Asmik Grigorian […]; and the strong, fine tenor soloist Ladislav Elgr. Interestingly, both soprano and tenor soloists are Proms Debut Artists.“
— Colin Clarke, Splendid, Lyrical Account of the Glagolitic Mass at the Opening of the 2019 BBC Proms, in: Seen and Heard International, 20.07.2019

„This mass is drama, not ritual, and it felt like an opera manqué thanks to thrilling singing from the BBC Symphony Chorus, fiery orchestral playing, thundering organ rhapsodics from Peter Holder and soaring vocal solos from a quartet led by soprano Asmik Grigorian and tenor Ladislav Elgr.“
— Erica Jeal, First night of the Proms review – the moon, and female stars, in: The Guardian, 21.07.2019

„Of the singers, it was soprano Asmik Grigorian and tenor Ladislav Elgr who dominated the proceedings, both outstanding in their projection“
— Andrew Benson-Wilson, BBC Proms: Janáček – Glagolitic Mass, in: Andrew Benson-Wilson : Early Music Reviews +, 21.07.2019

„It baffles me that tenors manage to survive a performance without bursting a blood vessel; they spend much of the evening singing fortissimo and there are a couple of wicked high Bs in the Creed, the first of them only the fourth note he has to sing. Tonight Ladislav Elgr nailed it”
— Graham Brack, Full throttle, in: Blog grahambrackauthor.com, 19.07.2019

„Tenor Ladislav Elgr has the most remarkable voice (every note committed to with considerable energy) and striking presence that suits Janacek’s melodic language.“
— Jon Jacob, BBC Proms 2019 / 1 – First Night, in: TB Thoroughly good classical music podcast, 20.07.2019

Der fliegende Holländer / Erik – NP Oper Leipzig
Dirigent: Ulf Schirmer; Inszenierung: Michiel Dijkema, März-Juni 2019

„Selbstbewusster als in vielen anderen Inszenierungen beeindruckte der Erik, von Ladislav Elgr, der mit furchtlosem Gesang gefiel.“
— Thomas Thielemann, Leipzig, Oper Leipzig, Der fliegende Holländer – Richard Wagner, in: IOCO Kritik, 02.04.2019

„Mit schöner Strahlkraft“
— Roberto Becker, Leipziger Seemannsgarn, in: Concerti, 31.03.2019

„mit intensivem Schmelz: Ladislav Elgr“
— Joachim Lange, Ein Schiff wird kommen …, in: Freie Presse, 01.04.2019


Aus einem Totenhaus / Skuratov – Opéra National de Lyon
Dirigent: Alejo Pérez; Inszenierung: Krzysztof Warlikowski, Januar-Februar 2019

„Le récit du Skouratov de Ladislav Elgr profite de la voix bien couverte de son interprète qui lui confère une teinte moirée. La projection maîtrisée permet de maintenir malgré tout un volume saisissant. La douce folie de son personnage s’exprime dans ses pas de danse névrotiques.“
[Die Skuratov-Erzählung von Ladislav Elgr nutzt die gut bedeckte Stimme seines Darstellers, der ihm einen Moiré-Ton verleiht. Die kontrollierte Projektion ermöglicht es, trotz allem eine auffallende Lautstärke zu erhalten. Der süße Wahnsinn seiner Figur drückt sich in seinen neurotischen Tanzschritten aus.]
— Damien Dutilleul, Une Maison des morts réaliste et politique à Lyon, in: Olyrix, 22.01.2019

„Ladislav Elgr est un beau Skouratov“
— Elodie Martinez, Krystof Warlikowski et De la maison des morts arrivent à l’Opéra de Lyon, in: Opera Online, 21.01.2019

„Soulignons encore la qualité de l’interprétation du Commandant par Alexander Vassiliev, de Skouratov par Ladislav Elgr …“
— Fabrice Malkani, De la Maison des morts – Lyon, in: forumopera.com, 21.01.2019

„eindringlich die [Darstellung] des Luka (Filka) durch Stefan Margita, des Skuratow durch Ladislav Elgr und des Schischkow durch Károly Szemerédy.“
— Jürgen Kesting, Die Straflager liegen vor unseren Städten, in: FAZ, 24.01.2019

Der Spieler / Alexei – NP Vlaanderen Opera
Dirigent: Dmitri Jurowski; Regie: Karin Henkel, Juni-Juli 2018

„Stellvertretend für eine imponierende musikalische Gesamtleistung seien nur die Hauptfiguren benannt: Ladislav Elgr als höhensichere, mit lyrisch-veredeltem Tenor singende Titelfigur“
— Regine Müller, Großer Jubel, in: taz, 15.06.2018

„Opera Vlaanderen bracht een excellente cast bij elkaar, met Ladislav Elgr op kop. Indringend portretteert de Tsjechische tenor de radeloosheid van Aleksej.“
[Opera Vlaanderen brachte eine exzellente Besetzung zusammen, mit Ladislav Elgr an der Spitze. Der tschechische Tenor schildert die Verzweiflung von Aleksej auf eindringliche Weise.]
— Jan-Jakob Delanoye, Opera Vlaanderen, ‘De speler’, in: Cutting Edge, 14.06.2018

„der jüngere Alexei (mit seinem eigentlich feinen, hellen Tenor vermeidet der bannende Ladislav Elgr jeder Dauerschreierei)“
— Manuel Brug, Nicht nur roulettetischgrün: Karin Henkels höchst gelungenes Genter Operndebüt mit Prokofiews „Spieler“, in: Brugs Klassiker / Die Welt, 14.06.2018

„Singend stellt ihn der sympathische Tenor Ladislav Elgr dar, der seine Partie von der Sprache her anlegt und ohne Belcanto-Allüren bestreitet.“
— Frieder Reininghaus, Eine Inszenierung, die keinen Anstoß erregt, in: Deutschlandfunk Kultur, Fazit, 13.06.2018

„Elgr is groots als die zeer instabiele Aleksej“
[Elgr, als der sehr instabile Alexei, ist großartig]
— Ben Taffijn, Sergej Prokofjev – De speler (Concert Recensie), in: Nieuwe Noten, 02.07.2018

„Bovendien is de rolverdeling met uitstekende zangers bezet. Ze krijgen nauwelijks aria’s te zingen, maar moeten zich bewijzen in het soort dialogische Sprechgesang van Prokofjev, met een aartsmoeilijk ritme gebaseerd op het Russische klankidioom. Ladislav Elgr zingt met nu eens felle dan weer smachtend lyrische tenor met veel kleur en nuance zijn aartsmoeilijke partij van Aleksej.“
[Außerdem sind die Rollen mit ausgezeichneten Sängern besetzt. Sie bekommen kaum Arien zu Singen, aber sie müssen sich in einer Art dialogischem Sprechgesang von Prokofjew bewähren, mit einem äußerst schwierigen Rhythmus, der auf der russischen Klangsprache basiert. Ladislav Elgr singt mit schwerem lyrischen Tenor mit viel Farbe und Nuance, seine extrem schwierige Partie des Aleksej.]
— Lucrèce Maeckelbergh, Hallucinante gokgekte in Opera Vlaanderen, in: Klassiek Centraal, 17.06.2018

„Ladislav Elgr est un Alexei tourmenté et convaincant, et affronte les difficultés du rôle de manière efficace“
— Cinzia Rota, Le joueur à Gand : la boucle infinie de l’addiction, in: Classicagenda, 23.07.2018

„Ladislav Elgr défend un premier rôle en permanence sur scène […]: la voix est claire, constante de souffle et d’une belle expression, minimaliste mais toujours sûre.“
— Soline Hortebise, Furieuse épilepsie du Joueur de Prokofiev à Gand, in: Olyrix, 21.06.2018

„Neméně zdařilé bylo i sólistické obsazení. Ústřední postavou se stal bez diskuze český tenor Ladislav Elgr. […] Postavu Alexeje sice ztvárnil poprvé, ale jeho hudebně procítěnou interpretaci odměnilo premiérové obecenstvo bouřlivým potleskem.“
[Nicht weniger erfolgreich waren die Solo-Besetungen. Der tschechische Tenor Ladislav Elgr wurde ohne Diskussion zur zentralen Figur. […] Er sang zum ersten Mal Alexei, aber seine musikalisch gespürte Interpretation wurde in der Premiere mit stürmischem Applaus belohnt.]
— Mirek Černý, Přesvědčivý Ladislav Elgr v poslední premiéře Vlámské opery, in: Harmonie line / casopisharmonie.cz, 26.06.2018

Aus einem Totenhaus / Skuratov – Royal Opera House Covent Garden London
Dirigent: Mark Wigglesworth; Inszenierung: Krzysztof Warlikowski, März 2018

„auf den Punkt wohltönend: Ladislav Elgr“
— Manuel Brug, Realistische Wimmelbilder: Krzysztof Warlikowski inszeniert in London Janáčeks „Aus einem Totenhaus“, in: Brugs Klassiker/Die Welt, 08.03.2018

„As Skuratov, whose lachrymose tale of lost love suffuses most of Act two, Ladislav Elgr (being Czech) inevitably sings with the best diction. His tenor instrument is harsh but cleanly potent in all registers; grazing the ear with the world-weary reminiscences of his adventures with Luisa – a young woman whose bridegroom he shot and killed, landing himself in jail.  He manipulates a moderate vibrato emblematic of his bittersweet nostalgia without allowing feeling to degrade his voice.“
— Sophia Lambton, Royal Opera House 2017-18 Review – From the House of the Dead: Prison Drama Locks Up Its Singers, in: Opera Wire, 10.03.2018

„Ladislav Elgr makes an effective and engaging house debut in a slightly more sympathetic role“
— Tim Hochstrasser, From the House of the Dead, in: Plays to see, 10.03.2018

„Skuratov (a striking Royal House debut from Czech tenor Ladislav Elgr).“
— David Nice, From the House of the Dead, Royal Opera review – Janáček’s prison oddity prompts hot tears, in: The Arts Desk, 08.03.2018

Aus einem Totenhaus / Skuratov – Opéra de Paris (Bastille)
Dirigent: Esa-Pekka Salonen; Inszenierung: Patrice Chéreau, Nov/Dez 2017

„au sein de ce groupe de captifs, quatre personnalités se révèlent : … Ladislav Elgr qui offre le moment le plus intime et le plus lyrique de la soirée lors de l’évocation de son amour avec Luisa, soutenu par la tendresse des cordes et des vents …“
— Charlotte Saulneron, De la maison des morts selon Chéreau, enfin à l’Opéra de Paris, in: ResMusica, 20.11.2017

„Et des chanteurs qu’il faudrait tous citer, d’abord évidemment ceux qui ont leur air: … le Skouratov de Ladislav Elgr, jeune ténor tchèque et magnifique comédien, qui va au bout de ses gestes …“
— Bertrand Renard, „De la maison des morts“ à Bastille, sous les ombres géniales de Janacek et Chéreau, in: culturebox.francetvinfo.fr, 20.11.2017

„výkonem zaujal i tenorista Ladislav Elgr v postavě Skuratova“
Dominik Sirný, Chéreauův Mrtvý dům v česko-slovenském obsazení sklízí ovace i v Paříži, in: Opera+/ operaplus.cz, 19.11.2017

„Ladislav Elgr entonne le chant traditionnel de Skuratov, qu’il danse à travers la scène et projette avec l’amplitude de sa voix riche en résonances aiguës placées.“
— Charles Arden, De la maison des morts par Patrice Chéreau à Bastille : enfin !, in: Ôlyrix, 18.11.2017

„Des interprètes éblouissants. Il en faut pour camper des personnages à moitié fous, aux tirades hallucinantes, à la cohérence hachée. […] Ladislav Elgr donne à Skouratov une souffrance torturée et obsédante tout à fait bouleversante.“
— Hélène Kuttner, Une « Maison des morts » éblouissante à l’Opéra Bastille, in: artistikrezo.com, 20.11.2017

„un investissement scénique hors pairs“
— Alexandre Jamar, L’étincelle divine selon Chéreau, in: Forumopera.com, 18.11.2017

„Ladislav Elgr, qui dépeint un Skouratov sensible, presque innocent, et d’une agilité scénique fougueuse et drôle“
— David, De la Maison des morts (White-Stokloßa-Elgr-Margita-Mattei-Chéreau-Salonen) Bastille, in: fomalhaut.over-blog.org, 19.11.2017

„Peter Mattei, Ladislav Elgr et Graham Clark incarnent avec une conviction vocale et scénique remarquable le terrifiant Chichhov, Skouratov et le vieux prisonnier.“
— Suzanne Lay-Canessa, Chéreau vit encore : l’Opéra Bastille consacre De la maison des Morts, in: bachtrack, 20.11.2017

„Ladislas Elgr aussi inquiétant que déchirant dans le rôle de Skuratov“
— Christophe Candoni, La radieuse grisaille de la maison des morts par Chéreau, in: sceneweb.fr, 27.11.2017

„Les chanteurs sont tous impressionnants d’engagement. Difficile de distinguer un interprète plutôt qu’un autre, tant règne ici un esprit de troupe. Citons tout de même l’émouvant Skouratov de Ladislav Elgr …“
— Laurent Vilarem, De la maison des morts ressuscite Patrice Chéreau à l’Opéra Bastille, in : Opera Online, 26.11.2017

Janacek: Glagolitische Messe – Walt Disney Hall, Los Angeles
Los Angeles Philharmonic Orchestra; musikalische Leitung: Gustavo Dudamel, Mai 2017

„Ladislav Elgr’s clarion tenor voice soared over the orchestra and chorus with seeming ease.“
— Robert D. Thomas, Overnight review: Bartok, Janacek dominate L.A. Phil s Disney Hall concert, in: insidesocall/class act, 27.05.2017

Edward II / Piers de Gaveston – UA Deutsche Oper Berlin
Dirigent: Thomas Søndergard; Inszenierung: Christof Loy, Februar/März 2017


„Ladislav Elgr kann als Gaveston nicht nur durch sein attraktives Aussehen, sondern auch durch seinen gut fokussierten, flexiblen Tenor und seine Schauspielkunst überzeugen.“
— Jürgen Gahre, Uraufführung von „Edward II.“, in: Kieler Nachrichten, 20.02.2017

„Wo ist die musikalische Sprache der Liebe, des Begehrens? Am ehesten in den Stimmen. Mit dem mitreißenden, aufwühlenden Bariton Michael Nagy und dem exakt und schön artikulierenden Tenor Ladislav Elgr steht ein Paar Edward / Gaveston auf der Bühne, das gesanglich und darstellerisch sehr einnimmt.“
— Albrecht Selge, 19.2.2017 – Sprachlos: Scartazzinis „Edward II.“ an der Deutschen Oper, in: Hundert11, 20.02.2017

„seine echte Leidenschaft in sehrendem Tonfall glaubhaft machende Ladislav Elgr (Gaveston)“
— Manuel Brug, „Mama, was heißt eigentlich geil?“, in: Die Welt, 20.02.2017

„Ladislav Elgr sang Gaveston with a lyric and mellifluous tenor that navigated the awkward intervals and was both seductive and petulant when he needed to be.“
— The Past and the Present: Edward II at the Deutsche Oper, Berlin, in: Operatraveller, 20.02.2017

„“Warum kann ich kein Baum sein. Ein Ast. Ein Blatt. Irgendein Tier“, singt der von seinem Geliebten Edward mit Privilegien ausgestattete Gaveston in Gestalt des bezaubernd schön klingenden lyrischen Tenors Ladislav Elgr, als die aufgehetzte Volksmenge ihm an den Kragen will.“
— Matthias Nöther, Blutiges Dreiecksverhältnis, in: Berliner Morgenpost, 21.02.2017

„Ladislav Elgr als Gaveston, im letzten Jahr in Makropolous sehr erfolgreich, verkörpert den einfühlsamen und durchtrainierten Liebhaber Gaveston mit interessantem tenoralen Glanz.“
— Alexander Hildebrand, Uraufführung von Edward II bringt rohe Gewalt gegen Schwule auf die Opernbühne, in: Opernfan.de, 02.2017

„Ladislav Elgr der smarte Gaveston mit charaktervollem Tenor.“
— Bernd Hoppe, Schwul und langweilig, in: Operalounge, Musikszene/Festivals, 24.02.2017

„Seinem Liebling Gaveston gibt der tschechische Tenor Ladislav Elgr hingebungsvolle Stimme und belebende Jugendlichkeit.“
— Horst Rödiger, Das Mittelalter um uns herum, in: roedigeronline.de, 20.02.2017

Der fliegende Holländer / Erik – NP Vlaanderen Opera Antwerpen und Gent
Dirigent: Cornelius Meister; Regie: Tatjana Gürbaca, Oktober/November 2016

„le ténor tchèque Ladislav Elgr – superbe Boris (Lady Macbeth de Mzensk) et Jim Mahoney (Mahagony) in loco dernièrement – campe un Eric aux moyens vocaux plus étoffés que de coutume pour ce personnage : le timbre produit toujours le même effet de séduction, la musicalité n’est jamais prise en défaut et les aigus sont magnifiquement amenés.“
— Emmanuel Andrieu, Iain Paterson est le hollandais volant à l’Opéra de Flandre, in : opera-online, 01.11.2016

„Een van de uitblinkers vond ik de Tsjechische tenor Ladislav Elgr die Erik, de oorspronkelijke verloofde, was van Senta. Met zijn lyrische tenor wist hij overtuigend zijn liefde voor de jonge vrouw uit te drukken.“
—Peter Année, Antikapitalistische Fliegende Holländer in Antwerpen, in: Opera Beluisteren, 07.11.2016

„Famos ist auch die Sängerbesetzung: … Ladislav Elgr ein Erik mit italienischem Schmelz und wunderbaren Nuancen“
— Regine Müller, Im Fokus: Die Hölle, sie ist immer schon da, in: opernwelt, S. 11, Dezember 2016

Aufstieg und Fall der Stadt Mahagonny / Jim Mahoney – WA Opera Vlaanderen Antwerpen
Dirigent: Dmitri Jurowski; Inszenierung: Calixto Bieito, Juni/Juli 2016

„Aucun bémol, en revanche, pour la distribution qui s’avère en tous points exceptionnelle: […] le ténor tchèque Ladislav Elgr – inoubliable Boris dans Lady Macbeth de Mzensk ici-même la saison dernière – possède une voix idéalement claire et percutante, en plus d’être un comédien hors-pair, pour le rôle de Jim Mahoney“
— Emmanuel Andrieu, Calixto Bieito sexualise à outrance Mahagony de Kurt Weill à l’Opéra de Flandre, in : Opera Online, 27.06.2016

„le ténor tchèque Ladislav Elgr – superbe Boris (Lady Macbeth de Mzensk) et Jim Mahoney (Mahagony) in loco dernièrement – campe un Eric aux moyens vocaux plus étoffés que de coutume pour ce personnage : le timbre produit toujours le même effet de séduction, la musicalité n’est jamais prise en défaut et les aigus sont magnifiquement amenés.“
— Emmanuel Andrieu, Iain Paterson est le hollandais volant à l’Opéra de Flandre, in : opera-online, 01.11.2016

„De protagonisten waren uitstekend gecast. Een van de uitblinkers vond ik de Tsjechische tenor Ladislav Elgr die Erik, de oorspronkelijke verloofde, was van Senta. Met zijn lyrische tenor wist hij overtuigend zijn liefde voor de jonge vrouw uit te drukken.“
—Peter Année, Antikapitalistische Fliegende Holländer in Antwerpen, in: Opera Beluisteren, 07.11.2016

Die Sache Makropulos / Albert Gregor – NP Deutsche Oper Berlin
Musikalische Leitung: Donald Runnicles; Inszenierung: David Hermann, Februar/April 2016


„Albert Gregor. Den singt mit Impetus Ladislav Elgr und macht mit ausdrucksstarkem Tenor und beeindruckendem Spiel deutlich, wie ein Mann dieser Frau verfällt, obwohl es ihm gleichzeitig vor ihr graust. Ihre immer wieder betonte Schönheit nimmt ihm fast den Verstand.“
— Ursula Wiegand, Berlin/ Deutsche Oper: „Die Sache Makropulos“ von Leos Janácek mit der großartigen Evelyn Herlitzius, Premiere, 19.02.16, in: Der Neue Merker, 20.02.2016

Die Bassariden / Dionysos – Teatro Dell’Opera di Roma
Dirigent: Stefan Soltesz; Inszenierung: Mario Martone, November/Dezember 2015

„Die Tenöre Ladislav Elgr als Dionysos und Erin Caves als Teiresias wurden ihren anspruchsvollen Rollen mehr als gerecht, beeindruckten mit Höhen von übernatürlicher Schönheit, klarer Phrasierung und einem erlesenen Bukett boshafter Anzüglichkeiten. Elgrs «Ich fand ein schlafendes Kind» schickte uns Schauer über den Rücken.“
— Carlo Vitali, Des Teufels Arsch, in: Opernwelt, Seite 48, Januar 2016
www.kultiversum.de/Opernwelt/Henze-Bassariden-Rom-Des-Teufels-Arsch.html

„dem stolz sinnlichen Dionysos des Ladislav Elgr“
— Reinhard J. Brembeck, Zwischen Abscheu und Verlockung, in: Süddeutsche Zeitung, 29.11.2015

„Ottima la prestazione dell’intero cast, che è composto da Ladislav Elgr nel ruolo di Dionysus…“
— Cristina Iacoboni, ROMA/ Teatro dell‘ Opera: DIE BASSARIDEN von Hans Werner Henze, in: Der Neue Merker, 29.11.2015

„Il cast internazionale è grandioso (lo stile del canto è classico su musica contemporanea) e si fregia della presenza di Ladislav Elgr nel ruolo del crudele Dionysus“
— Fabiana Raponi, Teatro dell’Opera di Roma, “The Bassarids” di Henze apre la stagione 2015/2016, in: Teatrionline, 30.11.2015

Rusalka / Prinz – NP Aalto Theater Essen
Musikalische Leitung: Tomáš Netopil; Inszenierung: Lotte de Beer, Mai/Juni 2015

„Fesch wie ein Offizier aus einem Schnitzler-Stück und enorm höhensicher Ladislav Elgrs Prinz“
— Regine Müller, Durch Leid mit Freud, in: Opernwelt, S. 40/41, August 2015

„Der junge tschechische Tenor Ladislav Elgr als Gastsolist ist ihr strahlkräftiger Prinz mit unangestrengten Spitzentönen.“
— Klaus Stübler, Aalto-Theater: Rusalka liegt bei Freudauf der Couch, in: Münsterland Zeitung, 25.05.2015

„Die Essener „Rusalka“ schildert das Erwachen weiblicher Gefühle, auch ihre Ächtung durch eine pädagogisch bereits deformierte Gesellschaft, weiterhin den schmerzlichen Lernprozess über die Wankelmütigkeit von Emotionen, wobei die besondere Schuldzuweisung in Dvoráks Oper dem Manne gilt. Es ist dem hinreißenden tschechischen Tenor Ladislav Elgr zu danken, dass sich das in seinem Porträt des Prinzen nicht vereinseitigt. Dem Sänger gelingt es, der fragwürdigen Existenz der Figur ein wenig Sympathie, zumindest Verständnis beizumischen. Elgrs angenehm schlanke Erscheinung, seine großen darstellerischen  Qualitäten fielen gerade erst in der Kölner „Arabella“ auf. Die ganze Attraktivität seiner samten maskulinen Stimme mit der enorm potenten Höhe wird aber erst in Essen so richtig evident.“
— Christoph Zimmermann, Essen: Rusalka – Premiere am 23. Mai 2015, in: Der Neue Merker, 23.05.2015

„De prins in deze productie is gekleed als een sprookjesprins en past in de waan van de jonge vrouw Rusalka. Tenor Ladislav Elgr karakteriseerde hem perfect in zijn krachtige stem met mooie hoogte en met zijn elegante acteren.“
[Der Prinz in dieser Produktion ist als Märchenprinz gekleidet und passt in den Wahn der jungen Frau Rusalka. Tenor Ladislav Elgr charakterisiert ihn perfekt mit seiner kraftvollen Stimme, schöner Höhe und mit seinem eleganten Schauspiel.]
— Franz Straatman, Spannende Rusalka kapseist in slotscène, in: Place de l’Opera / operamagazine.nl, 26.05.2015

„Ladislav Elgr ist in seiner lyrischen Partie ein Prinz von markanter Statur.“
— Bernd Aulich, Auf der Couch bei Doktor Freud, in: Recklinghäuser Zeitung, 26.05.2015

„Mit heldischem Aplomb garantiert Ladislav Elgr als Prinz starke Tenor-Momente.“
— Jörg Loskill, Im Wannenbad sitzt Freud, in: theater:PUR, 23.05.2015

„Ladislav Elgr ist mit strahlender Höhe, dunkler, erotischer Mittellage ein Prinz nicht nur aus dem vokalen Bilderbuch“
— Dirk Aschendorf, Spannende „Rusalka“-Deutung am Aalto-Theater, in: Der Westen, WAZ, 25.05.2015

Arabella / Matteo – NP Oper Köln
Musikalische Leitung: Stefan Soltesz; Inszenierung: Renaud Doucet, 2015


„Matteo wird von dem Tenor Ladislav Elgr mit gesanglich gut kontrollierter Leidenschaft und Verzweiflung gegeben.“
— Bernhard Hartmann, Ein Tanz auf dem Vulkan, in: Kölnische Rundschau, 27.04.2015

„Ausgezeichnet auch Ladislav Elgr in der höchst undankbar komponierten Rolle des Matteo“
— Strauss – Arabella. Oper Köln (Oper am Dom), Premiere am 25. April 2015, in: Capriccio Kulturforum, 26.04.2015

Katja Kabanowa / Boris – Opéra Toulon
Musikalische Leitung: Alexander Briger; Regie: Nadine Duffaut, 2015

„Katia’s young lover Boris was sung by Czech tenor Ladislav Elgr with sufficient vocal prowess to indulge in the manic love fantasies of Katia, but never to allow his character to lose its sense of defeat. In the beautifully directed scene when Katia publicly admits her infidelity he hovered in the background, then fled, and after his final moments with Katia near the end of the opera he simply evaporated.“
— Michael Milenski, Katia Kabanova in Toulon, in: Opera Today, 29.01.2015

„Ladislav Elgr fait résonner les accents fébriles de Boris“
— Gilles Charlassier, Emotion et vérité, in: ConcertoNet.com, 30.01.2015

„À ses côtés, Ladislav Elgr dans le rôle de Boris, à défaut d’un volume sonore suffisant lors de la première dimanche, demeure touchant et proche des sentiments intimes.“
— Jacqueline Cnobloch, Le superbe cauchemar de Katia kabanova à l’opéra de Toulon, in: In Concerto, Nice Matin, 27.01.2015


Carmen / Don José – NP Theater St. Gallen
Musikalische Leitung: Modestas Pitrėnas | Attilio Tomasello; Regie: Nicola Berloffa
Oktober 2014

„Dieser José ist hoffnungslos entbrannt in einer Liebe, die ihn tief verunsichert und am Ende in ein tiefes Loch stürzt. Ladislav Elgr gibt dem schauspielerisch und stimmlich überzeugend Ausdruck.“
— Rolf App, «Carmen»: Von lebhaft zu leblos, in: Tagblatt (Schweiz), 20.10.2014

„In eben dieser Rolle liefert der hochgewachsene Ladislav Elgr eine Charakterstudie par excellence. Zuerst kaum an den Frauen interessiert und nur seiner Jugendliebe Micaela zugetan, verfällt er der erotischen Ausstrahlung von Carmen umso mehr. Für sie gibt er sein allzu geordnetes Leben auf, gerät in kriminelle Kreise und wird schließlich zum Mörder. Berührender Mittelpunkt der ganzen Oper ist seine „Blumenarie“, wunderbar inwendig gesungen.“
— Anna Mika, Ein Thriller namens Carmen, in: NEUE Vorarlberger Tageszeitung, S. 24, 21.10.2014

„Der Don José von Ladislav Elgr ist kein Soldat, sondern gewissermassen ein Privatmann, der zwei Frauen liebt und sich nicht entscheiden kann. Diese Zerrissenheit stellt er mit seinem anpassungsfähigen Tenor bestens dar“
— Thomas Schacher, Wider die Klischees, in: Neue Zürcher Zeitung, 21.10.2014

„Mit einem fast zu gewichtigen, bisweilen gar heldisch klingenden Tenor gibt Ladislav Elgr den Don José;“
— Peter E. Schaufelberger, Nirgendwo in Spanien, in: Südkurier, 21.10.2014

„Tenor Ladislav Elgr bietet trotz seines eher androgynen Auftretens als José darstellerische und gesangliche Höchstleistungen … Carmen, die José innerlich zerreisst, seine Karriere zerstört und zum Kriminellen macht, hat er in einem Befreiungsschlag und von einem musikalischen Feuerwerk begleitet, erstochen. Szenen, bei denen es auch im Publikum heiss wurde.“
— Würgegriff der Leidenschaft, in: ostschweizerinnen.ch, Kulturtipp, 23.10.2014


The prodigal son / The younger son – Teatro dell’Opera di Roma,
Basilica di Santa Maria in Ara Coeli Roma

Musikalische Leitung: James Conlon, Inszenierung: Mario Martone, Juli 2014

„As that son, Ladislav Elgr was most impressive.  He is long-limbed, agile of movement and terrifying when writhing on the floor.  His voice is perfectly placed and rings out with a generosity which knows no travail.  A great singer-actor with perfect English diction.“
— Jack Buckley, The Power of Stories, in: Seen and Heard Internationl, 06.07.2014

„in particolare con il bravissimo Ladislav Elgr – Figliol prodigo.“
— Mauro Mariani, La parabola di Britten, in: Giornale della musica, 04.07.2014

Lady Macbeth von Mzensk / Sergej  – NP Vlaamse Opera Gent
Dirigent: Dmitri Jurowski; Regie: Calixto Bieito, März/April 2014

„Dass die Varianten für alle Aggregatszustände der Lust und des Frustes so gezeigt werden können, liegt wesentlich auch an der Souveränität, Mobilität und Stimmgewalt des baumlangen schlanken tschechischen Tenors Ladislav Elgr – ein Glücksfall für Katerina und die Flämische Oper.“
— Frieder Reininghaus, Oper, die zur Sache geht, in: Deutschlandfunk, Kultur heute, 22.03.2014

„Hij speelde zijn rol eveneens zeer overtuigend. Zijn sterke tenor had een lyrisch tintje en paste daardoor uitstekend in de rol van de rokkenjager.“
[Sein kräftiger Tenor hatte eine lyrische Note und passte daher perfekt zur Rolle des Frauenhelden.]
— Lennaert van Anken, Triomf voor Bieito’s rauwe Lady Macbeth, in: Place de l’Opera, operamagazine.nl, 22.03.2014

„an excellent Sergej by Ladislav Elgr“
parterre.com/2014/03/23/extra-loge

Mahler „Das Lied von der Erde“ (Schönberg-Fassung)  – Heidelberger Frühling
Ensemble der Festival Akademie; Musikalische Leitung: Matthias Pintscher, April 2013

„Die Tenorpartie ist eine der heikelsten, erfordert Durchschlagskraft und lyrische Elastizität. Über beides verfügt der junge tschechische Tenor Ladislav Elgr reichlich. Er besitzt eine schöne Stimme, die auch in der Höhe gut anspricht, ohne forciert zu klingen. Den Überschwang, die Emphase und Hochstimmung im „Trinklied vom Jammer der Erde“ brachte er mit dem Kammerorchester zu bester Wirkung… Das Bacchantische, Hedonistische schöpfte er jedenfalls aus vollen Zügen und brachte auch reichlich buffoneske Laune hinein.“
— Rainer Köhl, Hymnen an die Nacht, in: Rhein-Neckar-Zeitung, 06./07.04.2013


Rusalka / Prinz – Glyndebourne Tour 2012, Scottish Cahmber Orchestra
Regie: Melly Still; Musikalische Leitung: Jakub Hrůša / Leo McFall (14.11.);
Oktober-November 2012

„Czech tenor Ladislav Elgr, making his UK debut as the Prince, his dynamic vocal attack and healthy top register providing genuine excitement.“
— The Guardian, George Hall, 09.10.2012

„Elgr made a brave, committed stab at the role: he knew what it was about and acted it strongly and that counts for much.“
— Operanotes 13.10.2012

„Czech tenor Ladislav Elgr is quite a find; tall, slim and personable with a lovely lyric tenor voice. His voice has a fascinating dark quality to it which suggests that it may develop interestingly. […] Sensibly Elgr did not push his voice and managed his resources finely, giving us some powerful climactic moments at the end of act 1. […] Elgr is an interesting and arresting lyric tenor with a fascinating voice which he uses with intelligence and musicality. His prince was very finely sung indeed and I hope to hear him again soon.“
— Planet Hugill – Classical Music blog, Robert Hugill, 09.10.2012

„Ladislav Egr as the Prince was in fine lyric voice with an especially secure high register. He supplies ringing tone in this testing role, and by accentuating his youthfulness Still makes sense of his on-off-on attitude to Rusalka by implying that he has not learned to distinguish between lust and love and only comes to understand his true feelings in the final act.“
— Music OHM, Johnny Johnson, 14.11.2012

„Ladislav Egr as the Prince was in fine voice, combining Italian lyricism with sheer dynamic potency, and with an especially secure high register.“
— SouthWestShows, Philip R Buttall, 17.11.2012           

„Prince (Ladislav Elgr) was in a different class altogether, he had a healthy top register with great attack providing the excellence we were waiting for.“
— the [Good] review, Nina Wearne, 16.11.2012


Švanda dudák (Schwanda, der Dudelsackpfeiffer) / Babinský  –  NP Semperoper Dresden
Constantin Trinks, Axel Köhler, März-Mai 2012

„Ladislav Elgr spielte den Babinsky mit großem Engagement wie tänzerischem Geschick und sang mit strahlender Höhe und betörendem Schmelz“
— Sächsische Zeitung, Jens Daniel Schubert, 26.03.2012

„der diabolische Tausendsassa Babinský, den Ladislav Elgr brillant wie eine Stummfilmfigur anlegt und mit metallisch adäquatem Tenor in die Nähe verwandter Zeitopern wie „Johnny spielt auf“ rückt, wenn er auf einem Koffer durch die Requisite rollt oder mit Motorradkappe wie ein Fred Astaire durch den Böhmerwald bis in die Hölle steppt.“
— Frankfurter Allgemeine Zeitung, dtsch, 14.04.2012

„Gentleman-Gangster Babinsky, als Mischung aus Entertainer und Filou die originellste Partie. Mit Bärtchen, Frack und Gamaschen singspielt und tanzt ihn glänzend Ladislav Elgr als tönenden Bruder von Michel Hazanavicius‘ „The Artist“. Dieser Räuber hat Charme und Stolz, Beweglichkeit und Chuzpe.“
— Die Welt, Manuel Brug, 26.03.2012

„Die ohne Abstriche großartigen Sänger verstehen auch schauspielerisch zu überzeugen, allen voran Ladislav Elgr“
— Morgenpost, J.S., 26.03.2012

„Makellos auch Ladislav Elgr als Babinský, dem ein verbales Heimspiel gelingt. Er gibt den Gauner in Gamaschen derart durchtrieben, dass er ausnahmslos liebenswert ist.“
— nmz, Michael Ernst, 26.03.2012

„Der Räuber Babinsky, er lockt Schwanda hinaus in die Welt, ist Urheber allen Ungemachs, das dem Musikus widerfährt, und zugleich sein Beschützer. Angesiedelt im Milieu der »Golden twenties«, versinnlicht Ladislav Elgr einen Machertyp und Langfinger, der das Geklaute stets den Armen zuteilt. Ein Sporting Life, lauernd in der katzenhaften Habachtstellung, virtuos wie der Turner auf der Kletterstange, immer auf dem Sprung und bereit, die Kostüme zu wechseln, auf dem rollenden Koffer von Ort zu Ort zu fahren. Glänzende Rolle, glänzende Leistung.“
— Neues Deutschland, Stefan Amzoll, 05.04.2012

„Für die schwierigste Rolle, die des Räubers Babinský (eine tschechischer Robin Hood), Hallodri und Strippenzieher, hatte man in dem tschechischen Tenor Ladislav Elgr ein nahezu ideales „Gesamtkunstwerk“ gefunden: Nicht nur, dass er die gesanglich so anspruchsvolle Partie technisch gut bewältigte (mit den erforderlichen knalligen Höhen), der große, schlanke Sänger zeigte auch beträchtliches tänzerisches Vermögen, was das Gaudium zusätzlich würzte.“
—Der Neue Merker, D. Zweipfennig, 07.04.2012


Gogol / Bes – UA Theater an der Wien, November 2011

„le remarqué jeune ténor tchèque Ladislav Elgr dans le rôle de Satan.“
[der bemerkenswerte junge tschechische Tenor Ladislav Elgr in der Partie des Teufels]
— Le Quotidien, 16.11.2011

„als Teufel ist der Tenor Ladislav Elgr ein Ereignis“
— Kurier, Peter Jarolin, 16.11.2011

„Dieses expressionistische Panoptikum der Überbietung – allen voran der agile Teufelstenor von Ladislav Elgr – fügt sich in die mal beklemmende, dann aber auch immer wieder glorios auftrumpfende Musik.“
— FAZ, Dirk Schümer, 17.11.2011

 „Hervorragend auch Ladislav Elgr als gewitzt gefährlicher Teufel Bes“
— OÖNachrichten, Michael Wruss, 17.11.2011


Daphne / Leukippos – Semperoper Dresden, Oktober 2010

„Ladislav Elgr als fulminanter Leukippos war sogar eine echte Tenor-Entdeckung!“
— Freie Presse /Gießener Allgemeine, Joachim Lange, 03.10.2010

„der tschechische Tenor Ladislav Elgr, der so jugendlich wie frisch auch in leiseren Tönen überzeugte“
— nmz, Michael Ernst, 06.10.2010

„Ladislav Elgr war ein hingebungsvoller Leukippos“
— FAZ, Julia Spinola, 06.10.2010

„Aus dem Vollen schöpft der Tenor Ladislav Elgr als Leukippos.“
— Dresdner Neueste Nachrichten, Boris Michael Gruhl, 03.10.2010

Konzert: Glagolitische Messe – Osterklang Wien
Wiener Philharmoniker, Pierre Boulez – Musikverein Wien, März 2010

„Herausragend bei den Solisten waren die deutsche Sopranistin Evelyn Herlitzius und der tschechische Tenor Ladislav Elgr – vor allem ihn sollte man sich merken.“
—evolver, Herbert Hiess, 23.03.2010

„Nicht zuletzt stand in Ladislav Elgr ein unerschrockener Tenor zur Verfügung, der die gefährlichen Klettersteige seiner Partie nicht bloß zu meistern, sondern mit strahlender Inbrunst zu erfüllen verstand.“
— Die Presse, 29.03.2010

„So erlebte man eine geheimnisvoll-flehentliche „Psalmensymphonie“ und dann die lautstark bekennende, lobpreisenden Janacek-Messe, bei der sich auch die Gesangssolisten Evelyn Herlitzius (Sopran), Jolana Fogasova (Mezzo), Ladislav Elgr (Tenor) und Dimitry Ivashchenko (Bass) stimmgewaltig einbrachten.“
— Kleine Zeitung, APA, 23.03.2010


La Calisto / Linfea – Hamburgische Staatsoper, Juli 2008

„Auf einem munter rotierenden Eisen­karussell, das für flotte Szenenwechsel sorgt, präsentieren sich die Sänger des Opernstudios, mit denen die Produktion größtenteils bestückt ist: Die berührend verletzliche Calisto von Christiane Karg, der markant-metallische Tenor von Ladislav Elgr (Linfea) und Trine W. Lunds dunkel timbrierte Juno – ein beachtlicher Talentschuppen.“
— Opernwelt, Jörg Königsdorf, August 2008


Das Rheingold / Froh – Hamburgische Staatsoper, März 2008

„Artikulatorisch versiert kommen Jürgen Sacher (ein vortrefflicher Mime), Jan Buchwald (ein bisschen Donnerchen, aber so soll es ja wohl sein) und Ladislav Elgr (ein charaktervoller Froh) daher.“
— Kultur-Extra, Wolfgang Hoops, 24. März 2008