Ante Jerkunica | ©Valentino Bilić-Prcić


Die Walküre / Hunding – NP La Monnaie Bruxelles
Dirigent: Alain Altinoglu; Inszenierung: Romeo Castellucci, Januar-Februar 2024

„Ante Jerkunica est un excellent Hundig, au grave fort et menaçant à souhait.“
— Thierry Verger, Wagner, Die Walkyre – Bruxelles, in: Forumopera.com, 22.01.2024

„Ante Jerkunica est aussi incisif et convaincant en Hunding qu’en Fasolt.“
— Nicolas Blanmont, Superbement dirigée, une Walkyrie plus christique qu’héroïque, in: La Libre, 22.01.2024

„Au contraire, la basse Ante Jerkunica a exactement le timbre, l’ampleur vocale  et la noirceur de tessiture voulue pour  Hunding. Son incarnation parfaite, presque bestiale, de cet antipathique personnage uniment guidé par la vengeance s’avère dans la royale descendance dorée des Frick, Talvela ou Salminen. C’est dire la pertinence de son incarnation.“
— Benedict Hévry, A la Monnaie de Bruxelles, la Walkyrie en noir et blanc selon Romeo Castelucci, in: Res Musica, 05.02.2024

„Autre personnage mémorable de cette fresque à la fois épique et humaine, le Hunding idéalement noir et démoniaque d’Ante Jerkunica.“
— Emmanuel Andrieu, Critique, opéra. Bruxelles, Théâtre Royal de La Monnaie (du 21 janvier au 11 février 2024). Wagner : Die Walküre. I. Brimberg, P. Wedd, N. Stefanoff, G. Bretz… Romeo Castellucci / Alain Altinoglu., in: Classiquenews, 01.02.2024

„Bonheur des voix aussi. […] Quelle menace primitive émane du Hunding d’Ante Jerkunica.“
— Stéphane Gilbart, Une victoire de la musique à La Monnaie, in: Crescendo Magazine, 23.01.2024

„le Hunding d’Ante Jerkunica, aux profondeurs noires“
— Pierre Flinois, La Walkyrie à La Monnaie, Bruxelles, in: Classica, 23.01.2204

„Dafür liefert Ante Jerkunic (sic) einen imposanten Hunding“
— Joachim Lange, Jeder Ring ist erstmal ein Loch mit was drum: Castelucci inszeniert die „Walküre“ in Brüssel, in: neue Musikzeitung, 22.01.2024

„En el terreno humano, el nivel no fue el mismo, exceptuando el Hunding rocoso y amenazador de Ante Jerkunica.“
— Xavier Cester, Los hombres y los animales hacen su aparición en la ‚Tetralogía‘ de Castellucci, in: Òpera Actual, 23.01.2024

„También hay que destacar el poderío vocal del Hundig de Ante Jerkunica“
— Juan José Freijo, Romeo Castellucci prosigue en Bruselas con su ‚Anillo‘, ahora con ‚Die Walküre‘, in: Platea Magazine, 22.01.2024

„Anch’esso presente in Rheingold, Ante Jerkunica è un Hunding preciso e minaccioso.“
— Martino Pinali, Bruxelles – Théâtre Royal de la Monnaie: Die Walküre, in : Opera Click, 03.02.2023


Das Märchen vom Zaren Saltan / Zar Saltan – WA La Monnaie Bruxelles
Musikalische Leitung: Timur Zangiev; Inszenierung, Bühne: Dmitri Tcherniakov, Dezember 2023

„Le théâtre de la Monnaie sait s’entourer d’interprètes de grande valeur stylistique, en lien étroit avec le répertoire proposé. […] La basse Ante Jerkunica donne au tsar, au-delà de sa naïveté et de sa coupable négligence à l’égard de sa femme et de son fils, une dimension humaine. Mais il campe aussi avec beaucoup de justesse, ce père en costume cravate, dans la triste réalité, manifestement plus fêtard que sérieux, qui ne parvient pas à renouer avec son fils, surtout quand il tente de « faire semblant » sans être capable de redevenir ce personnage de conte dont le fils rêvait de conquérir le cœur. La voix est comme toujours souveraine, puissante, subtile, très bien projetée.“
— Helene Adam, Le fabuleux destin du « Conte du tsar Saltan » mis en scène par Dmitri Tcherniakov, in: cult.news, 06.12.2023

„le Tsar Saltan noble et intense (particulièrement dans la scène finale) d’Ante Jerkunica“
— Nicolas Blanmont, Saltan pour les fêtes à la Monnaie, in: La Libre, 04.12.2023

„Ante Jerkunica [singt] mit profundem Bass den Tsar Saltan.“
— Jean-Nico Schambourg, Das Brüsseler Opernhaus “La Monnaie” begeistert das Publikum mit der Wiederaufnahme des “Märchen vom Zaren Saltan”, in: Klassik begeistert, 04.12.2023

„La distribution reprenait dans une large mesure l’effectif de la première et elle s’impose par la juste caractérisation des protagonistes : noblesse grave du tsar d’Ante Jerkunica …“
— Serge Martin, L’autisme en filigrane du « Conte du tsar Saltane » à la Monnaie, in : Le Soir, 04.12.2023


Das Rheingold / Fasolt – NP La Monnaie Bruxelles
Dirigent: Alain Altinoglu; Inszenierung: Romeo Castellucci, Oktober-November 2023

„Ante Jerkunica sang den Fasolt mit seinem mächtigen, soliden und höhensicheren Bass“
— M. Fiedler, Brüssel. Das Rheingold, in: Das Opernglas. Ausgabe 12/2023

„Vor allem Ante Jerkunica als Fasolt ist ein körperliches Ereignis und neben Scott Hendricks und Nicky Spence, als Loge ein fröhlicher Unterhalter des Publikums, der einzige, der stimmlich voll überzeugen kann.“
— Egbert Tholl, Der Götter Ende ist der Menschen Glück, in: Süddeutsche Zeitung, 25.10.2023

„Ante Jerkunica ist stimmlich ebenso gewaltig wie körperlich“
— Sabine Weber, Ecce homo Alberich! Castellucci eröffnet seinen Brüsseler Ring!, in: Klassik favori, 26.10.2023

„Ante Jerkunica et Wilhelm Schwinghammer, enfin, sont sensationnels dans les Géants.“
— Richard Martet, Choc visuel et orchestral pour Das Rheingold à Bruxelles, in: Opéra Magazine, 07.11.2023

„Ante Jerkunica offre comme à son habitude une voix abyssale de basse au service du rôle de Fasolt. Accompagné par son frère Fafner, figuré par Wilhelm Schwinghammer, tous deux incarnent des géants de puissances et de pouvoir profonds.“
— Soline Heurtebise, L’Or du Rhin perdu, La Monnaie Sanctuaire pour Castellucci, in: Ôlyrix, 25.10.2023

„Efficacemente minaccioso il Fasolt di Ante Jerkunica, dallo strumento vocale possente e rotondo, cui fa eco il Fafner umbratile di Wilhelm Schwinghammer, che la regia lo vuole „doppiare“ gli interventi del fratello come se i due li stessero cantando all’unisono.“
— Martino Pinali, Bruxelles – Théâtre Royal de la Monnaie: Das Rheingold, in: Operaclick, 28.10.2023


Fausto / Mefisto (konzertant) – Festival Palazzetto Bru Zane Paris,
Théâtre des Champs-Elysées Paris

Dirigent: Christophe Rousset; Les Talens Lyriques; Chor des Radio Flamande, Juni 2023

„Packend ist Mephisto mit dem sarkastischen, bösen Bass Ante Jerkunica, dem die Komponistin eine fast parodistische Buffo-Szene mit Catarina, der Tante Margaretas (Marie Gautrot), geschenkt hat – als kleines Zugeständnis an die Rossini-Fans im Théâtre Italien.“
— Lotte Thaler, Und das von einer Frau!, in: FAZ, 24.06.2023

„Ante Jerkunica verleiht dem Mefisto seine tiefe, runde Bassstimme. Er weiß aber ebenso die sarkastische und ironische Seite seiner Rolle stimmlich überzeugend über die Rampe zu bringen.“
— Jean-Nico Schambourg, Der erste Faust der Operngeschichte war für eine Frau komponiert, in: Klassik begeistert, 21.06.2023

„Le Mefisto d’Ante Jerkunica n’appelle que des éloges : timbre d’une noirceur idéale, présence théâtrale délicieusement ironique et intelligence du texte, jusque dans le chant syllabique dans l’équivalent de la scène du jardin.“
— Laurent Bury, ​Fausto de Louise Bertin au Théâtre des Champs-Elysées / Festival Palazzetto Bru Zane 2023 – Satan vomit les tièdes – Compte-rendu, in: Concertclassic.com, 20.06.2023

„Quel plaisir, aussi, de profiter de la voix chaude, sonore et profonde d’Ante Jerkunica (Mefisto), d’une présence magnétique tout du long“
— Florent Coudeyrat, Critique, opéra. Théâtre des Champs-Elysées, Paris, le 20 juin 2023. Bertin : Fausto. Les Talens Lyriques, Ch Rousset (version de concert), in: Classiquenews.com, 21.06.2023

„Ante Jerkunica est un Mefistofele marmoréen, sarcastique avec intelligence“
— Christian Wasselin, Fausto sans copie, in: Webtheatre.fr, 21.06.2023

„un Méphisto d’envergure, la basse croate Ante Jerkunica, présent sur toutes les grandes scènes et que l’on rêve de réentendre à Paris.“
— Bénédicte Palaux Simonnet, Une compositrice à l’épreuve du réel : « Fausto » de Louise Bertin au Théâtre des Champs-Elysées, in: Crescendo Magazine, 22.06.2023

„Mefisto dominant
Sur scène, c’est le méchant qui gagne. Ante Jerkunica campe un Mefisto extraordinaire de diversité, dont le sens dramatique fait merveille. Formidablement démoniaque, il séduit aussi dans la gouaille : son air bouffe façon catalogue (« Un amico mio diletto ») est pur délice.“
— Anne Ibos-Augé, Au Théâtre des Champs-Élysées, Fausto sort d’un long silence, in: Díapason Mag, 21.06.2023


Das Märchen vom Zaren Saltan / Zar Saltan – NP Opéra du Rhin Strasbourg und Mulhouse
Musikalische Leitung: Aziz Shokhakimov; Inszenierung: Dmitri Tcherniakov, Mai 2023

„L’équipe vocale réunie se distingue par sa cohérence et sa remarquable qualité. […] Ante Jerkunica fait un tsar Saltane classieux, voix soyeuse et ligne altière“
— Jules Cavalié, Le Conte du tsar Saltane, in: Avant Scène Opéra, 09.05.2023

„Dans le rôle du Tsar, Ante Jerkunica prête une voix comme toujours très bien posée, à l’assise large et à la projection avantageuse. On connaît les qualités éminentes du chanteur, doué d’une belle diction, et d’une puissance marquée.“
— Guy Cherqui, Extraordinaire Conte du Tsar Saltan à Strasbourg : l’étreinte de l’émotion, in: Wanderer, 18.05.2023


Rusalka / Vodnik – NP Bergen Nasjonale Opera
Dirigent: Eivind Gullberg Jensen; Inszenierung: Àlex Ollé, März 2023

„Rusalkas far, Vodnik, fremstilles sterkt og autoritativt med rungende stemme av den imponerende kroatiske bassen Ante Jerkunica.“
[ Rusalkas Vater, Vodnik, wird von dem beeindruckenden kroatischen Bass Ante Jerkunica mit kräftiger und autoritärer Stimme verkörpert. ]
— Musikalsk triumf for Bergen Nasjonale Opera, in: Bergens Tidende, 19.03.2023


Die Entführung aus dem Serail / Osmin – WA Oper Zürich
Dirigent: Riccardo Minasi; Orchestra La Scintilla; Inszenierung: David Hermann,
November-Dezember 2022


„Die Entdeckung des Abends ist Ante Jerkunica als Osmin. Seinen herrlichen dunklen Bass möchte man gern öfter hören!“
— Jan Krobot, Zürich/ Opernhaus: Die Entführung aus dem Serail. Mozart-Oper oder Oper nach Mozarts Art? Wiederaufnahme, in: Online-Merker, 05.11.2022

„Ante Jerkunica was a great Osmin: his bass was powerful and with a smooth, mellow quality, very enjoyable. … When he showed up dressed as a stereotypical Turkish warrior, with turban, scimitar and Moorish babouches for “O wie will ich triumphieren” he was a sight – and gave a great interpretation of this difficult aria.“
— Laura Servidei, Mozart’s Entführung as a jukebox musical in Zurich, in: bachtrack, 06.11.2022


Die Entführung aus dem Serail / Osmin – WA Staatsoper Hamburg
Dirigent: Ádám Fischer; Inszenierung: David Bösch, September-Oktober 2022

„Ante Jerkunica gab einen überzeugenden, donnernden Diener Osmin. Er ist der Böse, noch schlimmer als sein Vorgesetzter, singt voller Freude darüber, die Gefangenen erhängt zu sehen. Ganz locker sitzen die Tiefen Ds mit dunkler Stimme, die wohl anspruchsvollste Partie des Werks singt er mit links. Das ist die Mozartliche Leichtigkeit, von der alle immer so schwärmen!“
— Johannes Karl Fischer, Staatsoper Hamburg: „Ádám Fischer lebe lang!“, in: Klassik begeistert, 07.10.2022


Die Zauberflöte / Sarastro – Staatsoper Wien
Dirigent: Ivor Bolton; Inszenierung: Moshe Leiser, Patrice Caurier, Juni 2022

„Ihr schon etwas angezählter Anführer gewinnt nun in Ante Jerkunica nicht nur buchstäblich erhebliche Statur. Der hochgewachsene Kroate ist zum ersten Mal überhaupt an der Staatsoper zu erleben und wie leichtfüßig, luftig und gleichwohl souverän er dem anderswo meist greisen Weisen Sarastro eine fast jugendliche Kontur geben kann, ist ein doppelt ungewöhnlicher Genuss.“
— Michael Brommer, Frischer Wind für die „Zauberflöte“, in: Wiener Zeitung, 20.06.2022


Rigoletto / Sparafucile – NP Metropolitan Opera New York
Dirigentin: Karen Kamensek; Inszenierung: Bartlett Sher; Mai-Juni 2022

„Ante Jerkunica as Sparafucile and Yulia Matochkina as Maddalena made impressive house debuts. Jerkunica’s Sparafucile was tall, lean and menacing, with a commanding bass complete with chilling, cavernous low notes.“
— Rick Perdian, Met wraps an inspired season with reprise of new “Rigoletto”, in: New York Classical Review, 29.05.2022


Don Carlo / König Filippo II. – NP Aalto-Theater Essen
Musikalische Leitung: Andrea Sanguineti; Inszenierung: Robert Carsen, März-April 2022

„Größter Jubel für Ante Jerkunica: als Philipp singt sein Bass die Bandbreit vom brutalen Despoten bis zum verletzlichen Gatten grandios aus.“
— Lars von der Gönna, Verdis „Don Carlo » : Blackout im Aalto-Theater, in: Westfälische Rundschau, 13.03.2022

„Stark war die Schreibtischszene mit Philipp II., der dort sein „Sie hat mich nie geliebt“ zum Besten gab, wie überhaupt die imponierend tiefe Stimme und der überwältigende Habitus von Ante Jerkunica alle anderen Beteiligten lt. ausgewiesener Besetzungsliste auf das Dimensionalste überragten!“
— Andre Sokolowski, Schwarz und grau und weiße Lilien, in: KulturaExtra, 13.03.2022

„Ebenso imponierend ist der mit modern technokratischer Herrscherattitüde auftretende Ante Jerkunica als Filippo II., dessen Habitus keinen Anflug von Alter zulässt.“
— Joachim Lange, Was lange währt, muss nicht immer gut werden – Verdis „Don Carlo“ in Essen Aalto-Oper, in: nmz, 13.03.2022

„Besonderen Applaus verdiente sich Ante Jerkunica in seiner Rolle des Filippo II., König von Spanien.“
— Frank Blum, Premiere nach zwei Jahren, in: Lokalkompass, Stadt-Spiegel, Essen-Süd, 13.03.2022

„Und schließlich ist da der König selbst: ein Einsamer, dem es um Machterhalt geht, der aber auch Momente des Zweifels spürbar werden lässt. Ante Jerkunica meistert seine Partie in jeder Hinsicht außerordentlich überzeugend.“
— Christoph Schulte im Walde, Don Carlo. Düstere Aussichten, in: Theater Pur, 12.03.2022

„Mit dem durch und durch großartigen Ante Jerkunica in der Rolle des Königs steht da freilich ein Sänger auf der Bühne, der mit genau geführter Riesenstimme die Autorität ausstrahlt, um mit wenigen Gesten große Spannung zu erzeugen. … diesen fulminant singenden Philipp … „
— Stefan Schmöe, Große Bilder von Macht und Tod, in: Online Musik Magazin, 25.03.2022


Die Entführung aus dem Serail / Osmin – NP Staatsoper Hamburg
Dirigent: Adam Fischer; Inszenierung: David Bösch

„Eine sehr starke Besetzung als Osmin (in dieser Inszenierung Typ simpler Schläger) war Ante Jerkunica, dessen klangvoller Bass und eindrucksvolle Erscheinung der Partie bestens zu Gesicht standen.“
— Y. Han, Hamburg. Die Entführung aus dem Serail, 17. Oktober, Staatsoper, in: Das Opernglas, Ausgabe 11/2021

„In dieser bescheidenen Ausstattung tummeln sich die Protagonisten, allen voran Ante Jerkunica, der als viriler, Beil schwingender Osmin seinen prachtvollen sonoren Bass zu Gehör brachte und in seinen liebestollen Szenen mit Blondchen, sowie in der „Vivat Bacchus“-Arie mit Pedrillo seine komödiantische Seite herrlich ausleben konnte.“
— Wolfgang Schmitt, Hamburg, Staatsoper Hamburg, Die Entführung aus dem Serail – Wolfgang A. Mozart, in: IOCO Kritik, 29.10.2021

„L’Osmin de Ante Jerkunica recueille sans doute la plus belle ovation. Celle-ci est méritée. Le terrible début du I, pris à froid et interminable, est un véritable piège pour celui qui s’y est mal préparé. Ce n’est pas le cas ce soir-là et le défi est superbement relevé grâce à un jeu juste jusqu’au bout et une basse bien basse et bien chantante.“
— Thierry Verger, Sauvetage réussi. Die Entführung aus dem Serail – Hambourg, in: forumopera.com, 29.10.2021

„Von Mozarts Culture-Clash-Komödie, von den beiden Europäern, die versuchen, ihre Frauen aus einem orientalischen Harem zu befreien, lässt David Bösch in seiner Regie jedenfalls nichts übrig. Die Frauen sind bei ihm in der Hand des Mafia-Paten Bassa Selim (Burghart Klaußner in weißem Zuhältermantel und 20er-Jahre Hosenträgern) und dessen Bodyguard Osmin, der als Bewacher des Harems in Inszenierungen sonst gern mit Turban und Pluderhose verkleidet auftritt, hier aber zum drahtigen Türsteher des Clubs Serail wird. Er schwingt mal die Axt, mal einen Baseballschläger – ein Kleinkrimineller mit Lederjacke und Skinny-Jeans, dem man nicht in einer dunklen Gasse begegnen möchte. Mit Ante Jerkunica ist diese Rolle stark besetzt. Seine Aggro-Arien sind ein Ohrenschmaus.“
— Daniel Kaiser, Mit heißer Nadel: Premiere für „Die Entführung aus dem Serail“, in: NDR Kultur, 18.10.2021

„Dieser Osmin, ein wundervoller Ante Jerkunica“
— Harald N. Stazol, Premiere: Mozart erstrahlt in der Staatsoper Hamburg – „Welche Wonne, welche Lust!“, in: klassik-begeistert.de, 18.10.2021

„Stimmlich stark präsent ist Ante Jerkunica als Osmin, seine knarzige Tiefe macht Freude. In schwarzer Lederjacke und Springerstiefeln sieht er wie ein hiesiger Krawallbruder aus.“
— Stephan Buraniek, Aus dem Hut gezaubert, in: Opern.news., 19.10.2021

„… während Ante Jerukunica als Osmin mit seinem Bass starke Akzente setzt und mit Vergnügen den Griesgram gibt.“
— Heike Linde-Lembke, Die Entführung aus dem Serail, in: Chaverim, 18.10.2021

„Sängerisch überzeugten besonders der kroatische Bass Ante Jerkunica als finsterer Osmin und Narea Son mit ihrem hellen und flexiblen Sopran als aufmüpfige Blonde.“
— Elisabeth Richter, Schnellschuss, in: Deutschlandfunk, Sendung: Musikjournal, 18.10.2021


Die Zauberflöte / Sarastro – NP Oper Köln
Musikalische Leitung: Christoph Gedschold; Szenische Einrichtung: Michael Hampe;
Oktober-November 2020

„Ante Jerkunica stellt Sarastro als jungen, sehr gut aussehenden Mann dar, der selbst in Pamina verliebt ist, aber großmütig Verzicht übt. Sein Auftritt mit einem Falken auf der Faust verleiht dem Basso profondo eine majestätische Ausstrahlung. Er verkörpert in idealer Weise den besonnenen, gerechten Fürsten, der das Gemeinwohl über seine eigenen privaten Interessen stellt. […] Die Gaststars Julien Behr als eher heldischer Tamino, Antonina Vesenina als koloraturstarke Königin der Nacht und Ante Jerkunica als charismatischer Sarastro führen ein Team an, das mit den Ensemblemitgliedern […] der Oper Köln mehr als luxuriös besetzt ist.“
— Ursula Hartlapp-Lindemeyer / Red. Das Opernmagazin, Prachtvolle „Zauberflöte“ in der Regie des Altmeisters Michael Hampe in Köln, in: Das Opernmagazin, 05.10.2020

„Sarastro ist der Gute. […] Ante Jerkunica leiht ihm seine männlich-fürstliche Erscheinung und seine profunde Basstiefe, die Autorität ausstrahlt.“
— Sabine Weber, Michael Hampe inszeniert Mozarts Zauberflöte für Köln und erzählt ein Märchen!, in: Klassikfavori, 05.10.2020

„Schon die eigene Statur, die individuelle Physis, macht Ante Jerkunica wie geschaffen zum Vorsitzenden oder Präsidenten des Rats der Weisen. Sein Bass, rund und tief, überzeugt alle Ordensbrüder oder Ratsmitglieder davon, Tamino mit seinem guten Herzen, seinem Mut und seiner Standhaftigkeit den verschiedenen Prüfungen zu unterziehen.“
— Mechthild Tillmann, Die Zauberflöte – zwischen tiefem Ernst und heiterem Spaß, in: liveinderoper.com, 04.10.2020

„Und was an Potential verschenkt wird, sieht man an der Figur des Sarastro: Der soll jung sein, tatsächlich ein potentieller Liebhaber Paminas (sagt Hampe), und Ante Jerkunica (überaus souverän und mit den erforderlichen tiefen Tönen, vom Timbre her eher Verdi-Bass als ein Sarastro) sieht blendend aus und könnte das verkörpern, deutet auch schauspielerische Fähigkeiten an“
— Stefan Schmöe, Die Zauberflöte. Zu viel Sehnsucht nach dem starken Herrscher, in: Online Musik Magazin, 04.10.2020


Parsifal / Gurnemanz – NP Opéra du Rhin Strasbourg und Mulhouse
Dirigent: Marko Letonja; Inszenierung: Amon Miyamoto, Januar-Februar 2020

„La distribution suit le niveau d’exigence requis par cette œuvre hors-norme, avec Ante Jerkunica en Gurnemanz triomphant de tous. L’amplitude de sa voix majestueuse de basse couvre toute la salle de l’Opéra de Strasbourg par son timbre clair et chaud. Son jeu tout en noblesse altière est à l’unisson de son chant, lui donnant une plénitude absolue.“
— Romaric Gregorin, Parsifal, de la magie dans l’air, in: Postap Mag, 07.02.2020

„La performance d’Ante Jerkunica en Gurnemanz lui vaut les ovations du public. La présence scénique renforce l’effet rendu par une voix de basse austère à souhait, au timbre puissant et magnifié à point nommé par le vibrato dans sa narration du premier acte, le tout dans un allemand superlatif.“
— Céline Wadoux, Parsifal à Strasbourg, entre tradition et modernité, in: Olyrix, 28.01.2020

„Le Gurnemanz de Ante Jerkunica impressionne dès ses premières phrases : la diction est solide et une palette de nuances sert les longs monologues explicatifs. La complexité du personnage, sur lequel compte toute la communauté de Montsalvat, est appuyée par la noirceur de la voix et une prestance physique qui ne peuvent laisser indifférent.“
— Julien Coquet, « Parsifal » à Strasbourg : La Nuit au musée, in: Toute la Culture., 28.01.2020

„Die Klarheit der musikalischen Interpretation äußert sich auch in der vorbildlichen Textverständlichkeit der Solisten. Ante Jerkunica ist als Gurnemanz ein in allen Höhen und Tiefen souveräner Erzähler, der die langatmigen Monologe belebt.“
— Georg Rudiger, Digitale Orchidee – Richard Wagners „Parsifal” an der Opera du Rhin Strasbourg, in: nmz, 28.01.2020

„Ante Jerkunica est un magnifique Gurnemanz, sonore et clair, au timbre riche sur toute la tessiture et impose avec autorité sa haute et noble stature scénique.“
— Michel Thomé, Tentative d’un Parsifal multiculturel à Strasbourg, in: ResMusica, 29.01.2020

„Le plateau est dominé par la prestation magistrale d’Ante Jerkunica qui signe en Gurnemanz une incarnation de toute beauté. L’enchantement du Vendredi Saint trouve ici un interprète à la dimension du rôle, avec un registre grave d’une densité remarquable et une ligne impeccablement projetée d’un bout à l’autre.“
— David Verdier, Une visite guidée, in: wanderersite.com, 30.01.2020

„Cela a valu la peine d’attendre le troisième acte pour savourer l’art vocal d’Ante Jerkunica -Gurnemanz- basse à la voix plutôt claire, sonore sans effort visible, quoique un tantinet métallique.“
— Jaime Estapà i Argemí, La vision syncrétique de « Parsifal », in: Web Théâtre, 02/2020

„ … Projetant le texte avec une grande clarté, il confère à son chant relief et belles couleur. Ces qualités marquent aussi la performance de la basse croate Ante Jerkunica, hôte régulier de nos scènes belges, qui investit Gurnemanz d’autorité et de noblesse.“
— Erna Metdepenninghen, Errances japonaises pour un Parsifal juvénile à Strasbourg, in: Crescendeo Magazine (BE), 10.02.2020

„Prägende Gestalt war der Gurnemanz von Ante Jerkunica. Mit bester Textverständlichkeit spürte auch er jeder Nuance nach und machte die langen Erzählungen zum Hörerlebnis. Dazu wirkte die Stimme im Volumen völlig unbegrenzt und autoritär.. Aber diese Partie ist ohnehin eine Lebensaufgabe und Jerkunica muss bereits jetzt zu den ersten Rollenvertretern gezählt werden. Spannend waren auch seine mimischen Reaktionen und seine hohe Präsenz auf der Bühne.“
— Dirk Schauß, Strasburg/ Opéra du Rhin: Parsifal. Neuinszenierung, in: Online Merker, 03.02.2020

„Ante Jerkunica, Gurnemanz vaillamment projeté en émission violoncellistique et en prosodie liquoreuse, fort d’une diction cinq étoiles.“
— Thibault Vicq, Catharsis catastrophe pour Parsifal à l’Opéra national du Rhin, in: Opera Online, 28.01.2020

„Qu’en est il des chanteurs ? C’est l’autre surprise : ce Parsifal est remarquablement interprété, et l’on peut sortir du lot par exemple la formidable basse allemande Ante Jerkunica dans le rôle de Gurnemanz …“
— Guillaume Tion, Parsifal de Wagner à l’Opéra national du Rhin, in: France musique, Sendung : la chronique de Guillaume Tion, 19.02.2020

„También quiso el público premiar el trabajo de Ante Jerkunica, un Gurnemanz de voz profunda, sin mácula, sobre todo en el tercer acto, capaz de visitar todo el rango vocal del personaje y de modular la intensidad de sus decires al justo nivel de cada mensaje, comentario o explicación a dar.“
[Ebenfalls preiste das Publikum die Leistung von Ante Jerkunica, ein Gurnemanz mit tiefer Stimme, makellos, vor allem im dritten Akt, fähig, den gesamten Stimmumfang der Figur aufzusuchen und die Intensität seiner Worte auf das richtige Niveau jeder Nachricht, jedes Kommentars oder jeder der zu gebenden Erläuterung gestaltend anzupassen.]
— Jaime Estapà, Parsifal en Estrasburgo, in: pro opéra, 07.02.2020

„Enfin, Ante Jerkunica confirme, s’il le fallait encore, le grand chanteur qu’il est devenu. Les longs monologues du premier acte sont servis par une diction et une science de la phrase qui captivent l’auditoire. Ses moyens alliés à un usage fin des couleurs et nuances supportent les grandes pages que la partition lui réserve au dernier acte.“
— Yannick Boussaert, Parsifal – Strasbourg. Pot-pourri d’idées, in: ForumOpera.com, 26.01.2020

„le Gurnemanz d’Ante Jerkunica, impeccable, dont la diction peut encore, avec l’âge, gagner en éloquence et rejoindre celle, inoubliable, de Hans Hotter.“
— Gérard Condé, Parsifal, in : Avant Scène Opéra, 26.01.2020

„ante jerkunica ein gurnemanz voller empathischer wärme.“
— Christoph Brander, Strasbourg: Parsifal, in: branderlive.blogspot.com, 27.01.2020


Turandot / Timur – NP Gran Teatre del Liceu Barcelona
Dirigent: Josep Pons; Regie und Video: Franc Aleu; Oktober 2019

„Con una voz de envergadura y nobleza, convenció el Timur de Ante Jerkunica.“
[Mit einer großen Stimme und Noblesse überzeugte der Timur von Ante Jerkunica.]
— Diego A. Civilotti, Lise Lindstrom y Gregory Kunde protagonizan „Turandot“ en el Liceu, in: Platea Magazine, 13.10.2019


Rigoletto / Sparafucile – NP Seattle Opera
Dirigent: Carlo Montanaro; Regie: Lindy Hume, August 2019

„But „Rigoletto’s“ darkest joke is that Sparafucile, the hit man Rigoletto hires to take care of the Duke — sung powerfully by Ante Jerkunica — is one of the opera’s very few characters with an unshifting moral code. On top of that, a staging decision is made here that actually makes him halfway heroic.“
— Gavin Borchert, Review: Seattle Opera stages a ‘Rigoletto’ that’s a surefire argument starter, in: Seattle Times, 12.08.2019

„Slavic singers seem to have a corner on the role of Sparafucile: Croatian Ante Jerkunica has exactly what the role requires: an inky bass that’s naturally scary, a shaved dome and loose, lanky body that’s made to wear a dark hoodie and scuffed tennis shoes, and a kind of brutal innocence that’s more creepy than overt menace.“
— Roger Downey, Gilda: „G for glorious“, in: Opera Today, 19.08.2019

„la grande silhouette et la basse caverneuse d’Ante Jerkunica donne immédiatement vie à Sparafucile.“
— Yannick Boussaert, Mantoue à l’époque #MeToo, Rigoletto – Seattle, in: ForumOpera, 26.08.2019

„Ante Jerkunica’s Sparafucile made a huge impact. Introduced in Act one at a bus stop with a menacing, sexy presence and an alluring molten bass voice, this was an assassin that meant business.“
— John Carroll, Seattle Opera 2019-20 Review: Rigoletto. Lindy Hume Delivers A Fascinating Look At Verdi’s Masterwork Under a Modern Lens, in: OperaWire, 26.08.2019


Das Märchen vom Zaren Saltan / Zar Saltan – NP La Monnaie Bruxelles
Dirigent: Alain Altinoglu; Regie: Dmitri Tcherniakov, Juni 2019

„c’est un spectacle magique porté par des solistes exceptionnels, comme le basse Ante Jerkunica …“
— Lucie Van de Walle, Féérie russe à La Monnaie, in: entre/les/lignes (BE), 14.06.2019

„Ein spielfreudige[s], prachtstimmiges Ensemble trägt neben dem souveränen Alain Altinoglu diese so ungewöhnliche wie eigenwillige Tcherniakov-Deutung: Ante Jerkunica als orgelnder Zar, der schließlich als realer Vater im blauen Anzug zunächst unwillig zu seinem geistig davongedriffteten Sohn zurückkehrt“
— Manuel Brug, Hummeln im Kopf: Dmitri Tcherniakov beendet seine Trilogie der Therapie in Brüssel mit Rimsky-Korsakows „Zar Saltan“, in: Die Welt | Brugs Klassiker, 12.06.2019

„Ante Jerkunica moet wachten tot de finale om zijn prachtbas glansrijk te kunnen inzetten tijdens zijn ultieme verzoeningsmonoloog.“
[Ante Jerkunica muss bis zum Finale warten, um bei seinem ultimativen Versöhnungsmonolog seinen prächtigen Bass herrlich einsetzen zu können.]
— Jos Hermans, Dmitri Tcherniakov met Het Sprookje van Tsaar Saltan in Brussel (****½), in: Leidmotief, 12.06.2019

„Plus affable et encore plus noble, Ante Jerkunica marque le rôle du Tsar Saltan d’un grave redoutable, sensible et austère. Rassurant et profond d’un timbre sombre, la basse croate marque la distribution par sa voix mâle, sûre et plus récitative, s’équilibrant avec le caractère davantage théâtral des autres personnages.“
— Soline Heurtebise, Le Conte du tsar Saltan questionne le réel à La Monnaie, in: Olyrix, 14.06.2019

„Outre les chanteurs déjà cités, n’oublions pas Ante Jerkunica, à la carrure de basse idéale pour le tsar Saltane“
— Michèle Friche, Le conte du tsar Saltane Une production magique, in: Le Soir (BE), 13.06.2019


Boris Godunow / Pimen – Deutsche Oper Berlin
Dirigent: Kirill Karabits; Inszenierung: Richard Jones, Januar-März 2019

„An Ausdrucksstärke ist ihm [Anm.: Sir Bryn Terfel in der Titelrolle] Ante Jerkunica als bassgewaltiger Mönch Pimen und Chronist (hier eher ein Maler) ebenbürtig. Ante Jerkunica macht die langen Erzählungen des Mönchs im dritten und die Berichte des Wunders am Grab des Zarewitsch im Schlussbild zu packenden Ereignissen. Welch grandiose Bassstimme ist da zu erleben, rund, schwarz und subtil dynamisch abstufend.“
— Kaspar Sannemann, Berlin, Deutsche Oper: Boris Godunow, 31.01.2019, in: oper-aktuell, 31.01.2019

„Mehr noch als der Gast aus Großbritannien begeisterte jedoch Ensemblemitglied Ante Jerkunica als Mönch Pimen.“
— Tereze Rozenberga/Wieland Aschinger, Bryn Terfel als „Boris Godunow“ an Deutscher Oper Berlin, in: Musik Heute, 01.02.2019


La Sonnambula / Graf Rodolfo – NP Deutsche Oper Berlin
Dirigent: Stephan Zilias; Regie, Dramaturgie: Jossi Wieler, Sergio Morabito;
Januar-Februar 2019

„Stimmlich am stärksten ist Graf Rudolfo: Der schlank-schön-große Kroate Ante Jerkunica ist zurecht einer der gefragtesten Bässe auf internationalen Bühnen.“
— Maria Ossowski, Mit schlafwandelerischer Sicherheit zum Erfolg, in: rbb, Sendung: Kulturradio, 12:10 Uhr, 27.01.2019

„L’impressionnante basse bellinienne Ante Jerkunica campe le Comte Rodolfo, physiquement et vocalement, avec bonté, noblesse, puissance, sensibilité. Taille, déambulation et barbe élégantes lui confèrent son charisme physique. Sa voix, au timbre d’ébène, profond, puissant et suave emporte tout sur son passage. Le phrasé est ample, le vibrato retenu, de manière à habiller le timbre sans l’altérer.“
— Florence Lethurgez, La Somnambule à l’Opéra allemand de Berlin : huées sanglantes, in: Olyrix, 04.02.2019

„der an diesem Haus enorm gewachsene Bassist Ante Jerkunica erfreut mit der uneingeschränkt großartigen Verkörperung des Grafen Rodolfo“
— Peter P. Pachl, Partiell entschlüsselt – Bellinis „La Somnambula“ an der Deutschen Oper Berlin, in: nmz, 27.01.2019

„Sängerisch über jeden Zweifel erhaben hingegen der wackere Ante Jerkunica mit prachtvollem, schwarzglänzenden Bass und einer quasi natürlichen Autorität als zurückgekehrter Graf Rodolfo. Kaum tritt er auf, richtet sich das Volk im Wirtshaus, als sei’s „Hochzeit des Figaro“: Bellinis Oper ist eine Semiseria, hat auch Buffo-Anteile.“
— Udo Badelt, Im Gefängnis der Seele, in: Der Tagesspiegel, 27.01.2019

„Graf Rodolfo wird hier als graumelierter, attraktiver Womanizer gezeigt und Ante Jerkunica macht das hervorragend, singt mit rundem Bass und wohldosierter Sonorität.“
— Kaspar Sannemann, Berlin, Deutsche Oper: La Sonnambula, in: oper aktuell, 26.01.2019

„Ante Jerkunica setzt am Premierenabend die Maßstäbe, mit seinem kultiviert geführten Bass macht er mächtig Eindruck.“
— Volker Blech, Die Ehe ist sowieso nur ein Geschäft, in: Berliner Morgenpost, 28.01.2019

„Als Graf Rodolfo verkörpert der kroatische Bass Ante Jerkunica den graumelierten Weiberhelden mit einem gewissen Anstand. Vom Stimmvolumen und der absoluten Rollenidentifikation her ragt er gemeinsam mit der grandiosen Alexandra Hutton in der Rolle der nach Aufstieg gierenden Dorfwirtin Lisa absolut heraus.“
— Ingobert Waltenberger, Berlin/Deutsche Oper: La Sonnambula. Premiere, in: Online Merker, 27.01.2019

Ante Jerkunica’s elegant appearance and natural authority as Count Rodolfo, expressed with a smooth and glossy, dark bass“
— Zenaida des Aubris, Venera Gimadieva’s dark coloratura impresses in Deutsche Oper Berlin’s Sonnambula, in: bachtrack, 29.01.2019

„Der voll tönende, profunde Bass des Ante Jerkunica eignet sich vorzüglich für die Rolle des Grafen Rodolfo“
— Christian Strehk, Tiefenbohrung mit Bellini, in: Kieler Nachrichten, 29.01.2019

„Glänzend Ante Jerkunica als Conte Rodolfo mit klangvollem Bass von großer Autorität, der in seiner Kavatine „Vi ravviso“ mit strömendem Wohllaut begeisterte.“
— Bernd Hoppe, Fragwürdiger Import, in: Opera Lounge, 28.01.2019

„Jerkunica und Hutton drücken der Inszenierung mit ihrer allumfassenden Präsenz einen unnachahmlichen Stempel auf.“
— Peter E. Rytz, Aberglaube stiftet Geister, in: erpery.wordpress.com, 29.01.2019


Guillaume Tell / Gesler – NP Theater an der Wien
Dirigent: Diego Matheuz; Regie: Torsten Fischer, Oktober 2018

„Dem sadistischen Tyrannen Gesler verleiht Ante Jerkunica eine gewaltige Stimme, die in überragender Stärke und sonorer Tiefe schrankenlose Macht und klassenbewusste Menschenverachtung des habsburgischen Statthalters zum Ausdruck bringt. Der aus Kroatien stammende Sänger vereint dominante Bühnenpräsenz mit feinen Nuancen – vor allem gegenüber Jemmy, dem kühnen Sohn Tells […]: Gesler streicht Jemmy mit aufgesetzter Zärtlichkeit über die Wange, die sich im Befehl zum Apfelschuss sofort als brutaler Zynismus entlarven sollte – Faschismus in seiner mörderischen Doppelgesichtigkeit zwischen „Fürsorglichkeit“ für „das Volk“ und hemmungslos eingesetzter Macht wurde selten überzeugender auf die Bühne gebracht.“
— Charles E. Ritterband, Theater an der Wien: Rossinis Freiheitsoper ohne Alpenkitsch im High Tech-Stil und mit wunderbaren Stimmen, in: Klassik begeistert, 26.10.2018

„Da bietet der Gesler des Kroaten Ante Jerkunica nicht nur erheblich mehr Stimme (und einen überzeugenden Bass noch dazu), sondern auch mehr Charisma – selbst, wenn man in Rechnung stellt, dass Bösewichter natürlich dankbarer zu spielen sind.“
— Renate Wagner, Wien / Theater an der Wien: Guillaume Tell, in: Online Merker, 13.10.2018

„Apropos Unterdrückung: Stärker als diese lahme Rauferei wirkt zuvor die Gitterplattform, auf der sich Ante Jerkunica als faschistoid-despotischer Gesler absenkt und den Melcthal von Jérôme Varnier, hier ein echter Priester, unter sich zerquetscht – zwei der markanten tiefen Männerstimmen, die in wichtigen mittleren Rollen aufgeboten sind.“
— Walter Weidringer, Oper: Der Rütlischwur hinter dem Grenzbalken, in: 14.10.2018

„Ante Jerkunica ein orgelnder Gesler“
— Gerd Korentschnik, „Walking Dead“, das Opernspecial: Mit Armbrust gegen Nazis. Kritik: Gioachino Rossinis „Guillaume Tell“ im Theater an der Wien mit zwei sehr guten Stimmen, in: Kurier.at, 14.10.2018


Boris Godunov / Pimen (konzertant) – NTR ZaterdagMatinee, Concertgebouw Amsterdam
Radio Filharmonisch Orkest; Dirigent: Pablo Heras-Casado, September 2018

„the resonant, varnished bass of Ante Jerkunica as the hermit Pimen.“
— Jenny Camilleri, Fiery, formidable Boris Godunov at the Concertgebouw, in: bachtrack, 20.09.2018

„Een grootse partij zong ook de Kroatische bas Ante Jerkunica als de monnik Pimen. Die is bezig de geschiedenis van Rusland vast te leggen. Moessorgski goot de overdenkingen van de oude man in lange, verhalende lijnen. Jerkunica drukte het verhaal met zijn pakkende stem in een beeldend zingen uit.“
[Eine große Partie sang auch der kroatische Bass Ante Jerkunica als der Mönch Pimen. Er zeichnet die Geschichte Russlands auf. Mussorgsky goß die Reflexionen des alten Mannes in lange, erzählende Linien. Jerkunica drückte die Geschichte mit seiner eingängigen Stimme in einem visuellen Gesang aus.]
— Franz Staatman, Overweldigende complete Boris Godoenov, in: Place de l’Opera / operamagazine.nl, 10.09.2018

„Ante Jerkunica als indrukwekkende monnik Pimen“
[Ante Jerkunica als beeindruckender Mönch Pimen]
— Peter van der Lint, Radio Filharmonisch Orkest raakt de Russische ziel, Groot Omroepkoor smeert de keel met wodka, in: Trouw.nl, 10.09.2018

„de minimalistische begeleiding van de oude monnik Pimen (de gloedvolle bas Ante Jerkunica), die melancholisch zijn laatste werkdag bezingt“
[die minimalistische Begleitung des alten Mönches Pimen (der glühende Bass Ante Jerkunica), der seinen letzten Arbeitstag melancholisch singt]
— Persis Bekkering, De kleuren van Boris Godoenov schitteren nog helderder in concertante uitvoering (vier sterren), in: de Volkskrant, 09.09.2018

„dos baixos potents com són  Alexander Krasnov com a Varlaam i sobretot el Pimen del ja imprescindible Ante Jerkunica.“
[zwei kraftvolle Bässe wie Alexander Krasnov als Varlaam und besonders der Pimen des bereits unentbehrlichen Ante Jerkunica.]
— Pablo Heras-Casado dirigeix un magnífic Boris Godunov al Concertgebouw, in: In fernem Land, 11.09.2018

„Ante Jerkunica was een fantastische Pimen“
[Ante Jerkunica war ein phantastischer Pimen]
— Frank van Aken schittert in de Amsterdamse ‘Boris Godoenov’, in: Basia con fouco, 09.09.2018


La Favorite / Balthazar – NP Gran Teatre del Liceu Barcelona
Dirigent: Patrick Summers; Regie: Derek Gimpel; Juli 2018

„Ante Jerkunica as Balthazar has an ample voice and gave a strong performance.“
— José M. Irurzun, The Liceu Opera Season Comes to a Close with Donizetti’s La favorite, in: Seen an heard International, 15.07.2018

„el bajo croata Ante Jerkunica impresionó con la rotundidad de sus medios en un poderosísimo prior Balthazar.“
— Javier Pérez Senz, Salvados por las voces, in: El País, 10.07.2018

„Le Balthazar d’Ante Jerkunica est irréprochable, sonore, bien chantant, avec des graves profonds, et son français est très correct.“
— Jean Michel Pennetier, Timide flamme, in: Forum Opera, 11.07.2018

„Ante Jerkunica, instead, from a very well-placed bass voice, with thickness and yet not too much weight, shone in the somewhat secondary role of monk Balthazar. His threats to the king at the end of the second act were actually frightening.“
— Xavier Pujol, A recycled Favorite Closes the Liceu season, in: Opera Online, 08.07.2018

„Ante Jerkunica, com Balthazar, va imposar el color fosc i els greus mòrbids del seu instrument, el baix, i va ser el més aplaudit despés de la parella protagonista.“
— Jordi Maddaleno, Donizetti regna al Liceu, in: La Vanguardia, 10.07.2018

„Absolutament espectacular el baix croata Ante Jerkunica, espectacular perquè la veu és absolutament de baix, de gran volum i emissió estereofònica, potser l’estil belcantista no és el de Ramey, però amb un instrument tan poderós sap adaptar-se bastant bé a l’estil. Jerkunica està destinat a ser un dels grans.“
— Joaquim, Liceu 2017/2018: la Favorite, in: In fernem Land, 09.07.2018

„Ante Jerkunica hace una impactante interpretación como prior del monasterio …, un Baltasar con una abrumadora voz de bajo capaz de todo un despliegue de autoridad musical muy afín a la autoridad moral …“
— Félix de la Fuente, Hasta el último tímpano del Liceu, La Favorite con Clémentine Margaine, Michael Spyres y Ante Jerkunika., in: Opera World, 19.07.2018

„Croatian bass Ante Jerkunica impressed as the monk Balthazar, with his deep basso and his convincingly menacing tone.“
— Ossama el Naggar, Clémentine Margaine, a Favourite “Favourite”, in: Concerto.net, 08.07.2018

„A una altura similar cal posar el Balthazar d’Ante Jerkunica, una de les veus de baix més interessants de les darreres fornades, un instrument sòlid al servei d’una autoritat mai forçada.“
— Xavier Cester, Amors impossibles de final tràgic a l’ombra d’una roca, in: in: ara.cat, 09.07.2018


Herzog Blaubarts Burg / Herzog Blaubart – NP La Monnaie Bruxelles
Dirigent: Alain Altinoglu; Regie: Christophe Coppens, Juni 2018

„Auf der Bühne glänzen Ante Jerkunica und Nora Gubisch als Blaubart und Judith. Jerkunica gelang es, die Partie mit seinem kraftvollem Bass wundervoll auszuloten und vieldimensional zu gestalten. Seine Stimme besitzt Kern und Biss, vor allem auch den Charakter, den die Partie dieser geheimnisvollen Figur abverlangt. Jercunica (sic!) konnte sowohl mit der Substanz seiner Tiefe wie auch mit der samtenen Mittellage und einer geschmeidigen Höhe durchdringen.“
— BRÜSSEL Herzog Blaubarts Burg / Der wunderbare Mandarin, in: Opernglas, Ausgabe 07-08/2018

„Ante Jerkunica und Nora Gubisch agieren wie expressionistische Leinwandikonen – und am Pult verleiht Alain Altinoglu mit dem Orchestre Symphonique de la Monnaie jeder harmonischen Wendung ein aufregendes Knistern. Die Unmöglichkeit einander nahe zu sein, verwandeln die beiden Hauptdarsteller in großes Kino. Jeder Blick, jede Geste sitzt. Star des Abends ist Ante Jercunica, mit gewaltigem ausdrucksstarken Bassbariton.“
— in: Oper! Das Magazin, Kurzkritik, 08.06.2018

„la basse granitique d’Ante Jerkunica rend à merveille toutes les facettes d’un Barbe-Bleue d’abord autoritaire et souverain, mais de plus en plus fragile et las face à la Judith d’une frémissante sensibilité de Nora Gubisch …“
— Patrice Lieberman, Bartók à La Monnaie : Barbe-Bleue sublime, Mandarin curieux, in: bachtrack, 10.06.2018

„de bas Ante Jurkunica zingt zijn roldebuut meesterlijk“
[der Bass Ante Jurkunica singt sein Rollendebüt meisterhaft]
— Stephan Moens, Een orgie van roze, geel en paars: Béla Bartók in De Munt, in: De Morgen, 10.06.2018

„Silhouette effrayante, roi solitaire à la contenance sombre et sanguinaire, Barbe-Bleue tient de ces personnages de conte qui hante l’enfance. Perdu, presque fantomatique dans ce prisme géant, c’est une version plus ancienne de Barbe-Bleue qui se dessine, plus ascète, moins violente, un anti-héros reclus dont la quiétude est bouleversée par Judith, jeune femme aux troubles freudiens, éprise d’un amour samaritain. […]
Le palais des glaces se pare d’une lumière glacée, les violons lancinants saignent les premières veines et les graves d’Ante Jerkunica préludent une qualité à la mesure de la partition. Puissants, ces graves s’apparentent à des râles sombres et terrifiants. Perché au sommet de son palais des glaces, réduit, Barbe-Bleue campe une noblesse déchue dont les notes viennent avec pesanteur s’échoir sur les angles d’un château vide.
Barbe-Bleue parle de liberté, du libre arbitre d’échouer, et les voix sont à la mesure du message. Chacun campe une dualité, faite de résolution et d’une fatalité amoureuse, l’un enterrant l’autre, les voix se heurtent de puissance, courtes, tranchées et soufflées.
Ante Jerkunica marque une sensibilité induite, profonde et sombre. Ses graves pénétrants de basse sonnent avec une aisance révoltante […]
La voix des deux chanteurs évolue, comme une balle qu’on lance à un adversaire, les retours de plus en plus dramatiques et violents, glissant vers un silence absolu.“
— Soline Heurtebise, Bruxelles, Bartók et Barbe-Bleue, Trigonométrie du miroir et de la folie, in: Olyrix, 10.05.2018

„Dazu singen die beiden Darsteller auf grandiose Art und Weise. Ante Jerkunica hat eine mächtige aber nie brutale Stimme …“
— Hans Reul, Die zwei Seiten des Bela Bartok, in: Belgischer Rundfunk, BRF Nachrichten, 11.06.2018

„Face à ce torrent de beauté et de sens, portés par une fosse d’orchestre en éruption, les deux solistes ont dû sentir un poids énorme sur leurs épaules. Ante Jerkunica n’en laisse rien paraître, et la noirceur de son timbre abyssal convient admirablement au personnage. C’est plaisir que d’écouter cette voix sépulcrale dérouler ses anneaux comme un immense serpent, jouir de ses propres graves, s’élancer à l’assaut de l’orchestre, puis soudain s’alléger en un murmure menaçant, qui deviendra de plus en plus aimant au fur et à mesure qu’il doit répondre aux demandes de Judith. L’incarnation physique est stupéfiante : la haute stature, la barbe millimétrée, le regard à la colère rentrée, tout « colle » à merveille. Il n’est pas jusqu’à l’immobilité des épaules qui exprime quelque chose, en adéquation totale avec la figure de ce « faux méchant ».“
— Dominique Joucken, Le Château de Barbe-Bleue, Le Mandarin merveilleux – Bruxelles, in: Forumopera.com, 08.06.2018

„La dimension quasi philosophique du propos est renforcée par le caractère presque sacré du Barbe-Bleue à la voix d’airain d’Ante Jerkunica qui sillonne son palais sinistre dans une chaise roulante métallique.“
— Serge Martin, Un Mandarin trash et un Barbe-Bleue classe, in: Le Soir, 10.06.2018

„Die zanglijnen worden meesterlijk vertolkt door het duo Gubisch-Jerkunica. Vooral de Kroatische bas wist me enorm te verbazen. Hij voerde het merendeel van de opera zittend uit en toch belemmerde hem dat op geen enkele manier. Fantastisch hoe hij vanuit de rolstoel zijn personage als getormenteerde, eenzame ziel vertolkte, zonder daarbij in een rolletje van mankepoot te vervallen. Om dan nog maar te zwijgen over de fantastische klank die Jerkunica zittend voortbracht, fenomenaal was dat.“
[Diese Partien werden vom Duo Gubisch-Jerkunica meisterhaft interpretiert. Besonders der kroatische Bass hat mich wirklich überrascht. Er hat den größten Teil der Oper im Sitzen aufgeführt, und doch hat es ihn in keiner Weise behindert. Fantastisch, wie er seinen Charakter als gequälte, einsame Seele aus dem Rollstuhl interpretierte, ohne in eine schlaffe Rolle zu verfallen. Ganz zu schweigen von dem fantastischen Klang, den Jerkunica im Sitzen produzierte, das war phänomenal.]
— Jasper Croonen, Spiegeltje spiegeltje aan de…, in: Klassiek Centraal, 10.06.2018

„Ante Jerkunica leent zijn prachtbas aan Blauwbaard. Vocaal en interpretatief is de boomlange Kroaat onberispelijk in de parlando-rubato stijl die de partij van hem verlangt. De stem krijgt steun van het decor en krijgt daardoor extra présence.“
[Ante Jerkunica verleiht Blaubart seinen prächtigen Bass. Gesanglich und interpretativ ist der langhaarige Kroate im parlando-rubato-Stil, den die Partie von ihm verlangt, tadellos. Die Stimme erhält vom Dekor Unterstützung und bekommt dadurch zusätzliche Präsenz.]
— Christophe Coppens met Hertog Blauwbaards Burcht / De Wonderbaarlijke Mandarijn in Brussel (****), in: Leidmotief / Vlaams Wagner Genootschap, 09.06.2018

„Barbe-Bleue (un caverneux Ante Jerkunica, souvent admiré à Opera Vlaanderen)“
— Bruno Peeters, A La Monnaie : un double programme Bartok, in: Crescendo Magazine, 13.06.2018

„Beide zangers Nora Gubisch en Ante Jerkunica zijn perfect gecast in de rollen van Judith en Blauwbaard.“
— Sylvia Broeckaert, In de Munt ging een Bartok double bill in première, in: Klara.be, 09.06.2018

„De omlijsting voor de kwetsbare stemmen van Nora Gubisch en Ante Jerkunica had niet beter kunnen zijn.“
[Der Rahmen für die verletzlichen Stimmen von Nora Gubisch und Ante Jerkunica hätte nicht besser sein können.]
— Jan-Jakob Delanoye, De Munt, ‘Hertog Blauwbaards burcht & De wonderbaarlijke mandarijn’, in: Cutting Edge, 09.06.2018

„Nella parte di Barbablù il bravo basso croato Ante“
— Alma Torretta, Un meraviglioso Mandarino illumina il tenebroso Barbablù, in: gdm / giornaledellamusica.it, 14.06.2018

„L’ambientazione, le continue domande e la curiosità di Judith (Nora Gubisch) e l’atteggiamento misterioso e scontroso di Barbablù (il basso Ante Jerkunica) rivelano metaforicamente le sfaccettature dell’animo umano. È l’eterno dilemma e desiderio dell’incontro, del conoscersi a fondo.
Il tentativo di approcciarsi all’altro con franchezza e dedizione e la conseguente deludente scoperta dell’impossibilità a farlo. Barbablù si limita a parlare dalla sua sedia a rotelle: il suo non è un handicap fisico; lui è immobile, inflessibile, non si mostra per come è realmente e si alzerà solo nel momento in cui Judith scoprirà la verità sulle altre donne rivelandosi a lei per quello che è.
Ogni elemento rivela il suo lato oscuro: tutto (gioielli, corona, fiori, nuvole) è ricoperto di sangue, il lago è fatto di lacrime così come l’amore di Judith si rivela (forse) essere una trappola.“
— Giovanni Zambito, Opera Bruxelles, Bartók risplende nella regia di Christophe Coppens. La recensione di Fattitaliani, in: Fattitalinani.it, 09.06.2018


Auszeichnung vom Verband argentinischer Musikkritiker:
Preis ‚Entdeckung der Saison 2017‘ (‚Revelación‘-Award)

Ante Jerkunica hat im November 2017 sein Hausdebüt am Teatro Colón Buenos Aires gegeben.
Für seine dortige Interpretation des Vodnik (Wassermann) in „Rusalka“ wurde er nun vom Verband argentinischer Musikkritiker mit dem Preis ‚Entdeckung der Saison 2017‘ (‚Revelación‘-Award) ausgezeichnet.
Die Preisverleihung fand am 21. Mai 2018 in Buenos Aires statt.


Mosè in Egitto / Mosè – NP Oper Köln
Musikalische Leitung: David Parry; Inszenierung: Lotte de Beer, April 2018

„Überragend schließlich die stimmgewaltige Darstellung der Titelfigur Mosè durch den Bassisten Ante Jerkunica“
— Bernhard Hartmann, Die Teilung des Roten Meeres im Puppenformat, in: General-Anzeiger Bonn, 10.04.2018

„Den Vogel schießen wohl die beiden Bässe des Moses (Ante Jerkunica) und des Pharao (Joshua Bloom) ab: Würde und Leidenschaft im und durch Gesang, differenzierter Wohllaut ohne Holzfälleranmutung, satte Sonorität der Tiefe – da bleiben keine Wünsche offen.“
— Markus Schwering, Kölner Oper. Mit Rossini durchs Rote Meer, in: Kölner Stadt-Anzeiger, 10.04.2018

„Die Titelpartie ist mit Ante Jerkunica hochkarätig besetzt. Sein dunkler Bass zeichnet ihn mit Faraone auf Augenhöhe. Die berühmte Preghiera im dritten Akt, „Dal tuo stellato soglio“, die ein Jahr nach der Uraufführung eingefügt wurde und zum absoluten Hit avancierte, der in der Popularität in etwa mit Verdis knapp ein Vierteljahrhundert später komponierten Gefangenenchor aus Nabucco verglichen werden kann, wird von Jerkunica gemeinsam mit Sicilia und Dladla mit großem Pathos präsentiert und vom großartig disponierten Chor der Oper Köln unter der Leitung von Andrew Ollivant eindrucksvoll aufgenommen.“
— Thomas Molke, Mosè in Egitto. Puppenspieler als göttliche Macht, in: Online Musik Magazin, 08.04.2018

„Die umjubelte Premiere begeisterte nicht nur wegen der herausragenden Solisten – allen voran Ante Jerkuncia als Mosé“
— Stephan Eppinger, Umjubelte Premiere für „Mosè in Egitto“, in: Westdeutsche Zeitung (Bergischer Volksbote), 10.04.2018

„Herausragend der kroatische Bass-Bariton Ante Jerkunica in der Titelpartie, der inzwischen zu den gefragtesten Bässen international zählt.“
— Pitt Herrmann, Rossinis „Mose in Egitto“ in Köln: Gott spielt mit den Menschen, in: Sonntagsnachrichten Herne, 09.04.2018


Rusalka / Vodnik (Wassermann) – NP Teatro Colón Buenos Aires
Dirigent: Julian Kuerti; Regie: Enrique Singer, November 2017

„El bajo croata Ante Jerkunica fue, quizás, la voz más interesante de la noche y ello se notó en los aplausos del público. Su Vodník fue cantado con emisión potente, parejo registro, musicalidad y entrega; un artista para volver a convocar.“
— Gustavo Gabriel Otero, Rusalka arriba al Teatro Colón, in: Mundoclasico.com, 17.11.2017

„Sin lugar a dudas quien resalta en esta producción es Ante Jerkunica, quien encarna a un Vodník severo, poderoso a la vez que profundo y triste. El bajo croata realiza un trabajo soberbio en el escenario tan solo superado por su destreza vocal.“
— Analia Pinto, Rusalka : Una propuesta encantada, in: CQAP.info, 13.11.2017

„Il basso croato Ante Jerkunica (Vodník) si è distinto per potenza, omogeneità, musicalità e partecipazione“
— Gustavo Gabriel Otero, Nel regno delle favole, in: L’Ape musicale, 14.11.2017

„Ante Jerkunica, un bajo croata que maravilló con una voz profunda, cambiante y atractiva, además, con una musicalidad invulnerable. Una pena que su rol de padre amantísimo tenga, en esta ópera, tan pocas oportunidades de exposición.“
— Pablo Cohan, Rusalka: una propuesta austera que no logra lucirse, in: La Nacion, 10.11.2017

„Entre los cantantes descollaron los invitados: ….muy particularmente el Vodnik de Ante Jerkunica.“
— Enrique Joaquín Sirvén, Buenas voces en el estreno de Rusalka, in: operadesdehoy.blogspot.fr, 13.11.2017

„El elenco de los abonos tuvo una estrella absoluta en el bajo croata Ante Jerkunica, que con justicia se llevó la gran ovación de la noche a la hora de los aplausos.
Dotado de una de esas voces que uno quiere seguir escuchando y que no pare de cantar, con un arrasador timbre de bajo con graves opulentos y un volumen vocal importante (que Hagen que haría ¡!) fue en todo momento la presencia dominante que la obra requiere. Previsiblemente al ser un bajo en sentido estricto sus agudos tuvieron menos brillo que los de Gladic que es más bien un bajo-barítono. Por si lo anterior fuera poco tiene una impactante presencia escénica que no desmereció para nada en la comparación con su fantástico colega argentino.“
— Luis Baietti, Rusalka – Elenco para abonados, in: Luisbaietti-Opera y Ballet, 12.11.2017


Chowanschtschina / Fürst Iwan Chowanski (konzertant) – BBC Proms 2017, Royal Albert Hall London
Dirigent: Semyon Bychkov; BBC Symphony Orchestra, August 2017

„young Croatian bass Ante Jerkunica was quite the revelation as Ivan Khovansky, smooth-toned and charismatic.“
— Mark Pullinger, Prom 29: Twilight of the Old Believers as Semyon Bychkov leads a majestic Khovanshchina, in: bachtrack, 07.08.2017

„Jerkunica presented us with a formidable portrait of a man whose innate arrogance takes on qualities of existential defiance as his world collapses round him.“
— Tim Ashley, Khovanshchina review – Bychkov’s Mussorgsky is magisterial, measured and relentless, in: The Guardian, 07.08.2017

„Really impressed @bbcproms tonight by Ante Jerkunica as Ivan Khovansky. Haven’t heard him before. Wonderful singer.“
— Tim Ashley aka @Tim Ash Ash (Guardian and Gramophone critic) via Twitter, 06.08.2016

„The political menace of the Streltsy was strongly embodied by the singing and dramatic portrayal of Croatian bass Ante Jerkunica as their leader Ivan Khovansky“
— Mark Ronan, Khovanshchina, BBC Prom 29, Royal Albert Hall, RAH, August 2017, in: Theatre Reviews markronan.com, 07.08.2017

„Chief of the boyar “Streltsy” (musketeers) is Prince Ivan Khovansky, sung here by the formidable Croatian bass Ante Jerkunica.“
— Clare Colvin, Classical review: Prom 29 – Mussorgsky’s Khovanschina, in: Express, 13.08.2017


Boris Godunow / Pimen – NP Deutsche Oper Berlin
Musikalische Leitung: Kirill Karabits; Inszenierung: Richard Jones, Juni/Juli 2017

„Sodann Ante Jerkunika mit überragender Stimm- und Gestaltungskraft in der Partie des Pimen: „der gebürtige Kroate ist derzeit einer der gefragtesten Bässe auf internationalen Bühnen“ – wirklich kein Wunder! –“
— Uwe Schwentzig, Die Kybernetik der Macht, in KuluraExtra, 18.06.2017

„Ante Jerkunica singt den Mönch Pimen, der mit seinen Erzählungen der Wundertaten von Dimitrijs Leiche den Wahnsinnstod des Zaren beschleunigt; dem ausgemergelten Körper des Mönchs entschlüpfen verblüffende stimmliche Kraft und zornige Vitalität.“
— Udo Badelt, Wolgaland ist abgebrannt, in: Der Tagesspiegel, 18.06.2017

„Der Kroate Ante Jerkunica begeisterte als Mönch Pimen“
— Peter Jungblut, Ohne Tiefgang, aber schön anzusehen, in: BR Klassik, 19.06.2017

„Die Partie des Pimen wird mit zugleich machtvoller und weich timbrierter Stimme von Ante Jerkunica gesungen, einem Juwel in den Ensemblereihen der Deutschen Oper.“
— Matthias Nöther, Russische Machtspiele, in: Berliner Morgenpost, 19.06.2017

„der klangschön singende Ante Jerkunica als Pimen“
— Peter P. Pachl, Bedingter Sieg für Mussorgskij – „Ur-Boris“ an der Deutschen Oper Berlin, in: nmz, 18.06.2017

„Herausragend fand ich Ante Jerkunica als Pimen, den alten Mönch.“
— Holger Jacobs, Boris Godunow an der Deutschen Oper Berlin, in: kultur24.berlin, 18.06.2017

„Per saldo tragen zwei höchst beeindruckende Bässe das Geschehen: Ain Anger als Gast in der Titelpartie (Berliner Rollendebüt) und Ante Jerkunica als Mönch und Chronist Pimen. Jerkunica kommt zuerst ausführlich an die Reihe. Kraftvoll und ausdrucksstark präsentiert er dem jungen Mönch Grigorij Otrepjew die Geschichte der Zaren. […] Sie alle erhalten eher kurzen, aber kräftigen Beifall, Ante Jerkunica und Ain Anger jedoch die verdienten Ovationen.“
— Berlin/ Deutsche Oper: „Boris Godunow“ von Modest P. Mussorgskij, Premiere, 17.06.2017., in: Der Neue Merker, 18.06.2017

„Anger ist der einzige Gast, alle anderen Sänger gehören zum Ensemble. Darauf kann die Deutsche Oper sich an diesem Abend schon was einbilden. Nicht etwa weil Anger schwach wäre, sondern weil Ante Jerkunica so stark ist, fegt der greise Mönch Pimen den Zaren locker von der Bühne. Bei solch melodischer Prophetenwucht kann jeder Unheilige einpacken.“
— Albrecht Selge, Basskreiselnd: Mussorgskys „Boris Godunow“ an der Deutschen Oper, in: hundert11.wordpress, 18.06.2017


Die Zauberflöte / Sarastro – NP Seattle Opera
Dirigent: Julia Jones; Inszenierung: Chris Alexander, Mai 2017

„At the other end of the sonic spectrum, the resonant, resounding bass Ante Jerkunica made Sarastro’s arias among the production’s high points.“
— Melinda Bargreen, Review: Seattle Opera’s ‘Magic Flute’ is a delight for the eyes and the ears, in: The Seattle Times, 08.05.2017

„Ante Jerkunica made a notable debut as Sarastro. It is rare to hear such uniformity in range of this role. Jerkunica reached into the depths for the character’s iconic low notes without sounding forced or woolly, but there also was true beauty in every phrase he sang throughout the range.“
— Erica Miner, Seattle Opera’s Magic Flute as enchanting as ever, in: bachtrack, 08.05.2017

„Ante Jerkunica has a beautiful bass voice and his music booms through the auditorium to great effect. Not only does he deftly command a group of spiritual followers but he is able to guide the three questers, Pamino, Tamina and Papageno out of the dark woods of hate into the fields of love and friendship.“
— Lucienne Aggarwal, Review-The fun and fantasy of The Magic Flute, in: Drama in the Hood, 08.05.2017

„Los aficionados españoles pudieron disfrutar de las oscuridades de la voz de Ante Jerkunica en su Sparafucile en el Liceu de Barcelona. En Seattle, el croata firmó un Sarastro de peso, algo dubitativo la noche del estreno. El pasado domingo, una vez los nervios del estreno se hubieron temperado, el artista regaló una sobresaliente aria ‚In diesen heil’gen Hallen‘, manejando su voz con inteligencia, precisión y economía.“
— Carlos Javier López, La Flauta Mágica de Mozart cierra una gran temporada de la Seattle Opera, in: Opera World, 12.05.2017

„Croatian bass Ante Jerkunica, who soon sings at Deutsche Oper Berlin (where he is a resident artist), Teatro Colön, and the BBC Proms, is the real thing. While the conductor seemed to challenge Jerkunica to sing his big arias rapidly and still maintain profundity, he largely succeeded despite that gloss. Possessing an unusually strong bottom register and an equally beautiful top, Jerkunica had no trouble descending at the end of “In diesen heil’gen Hallen”.“
— Jason Victor Serinus, Magic Flute Zips, But Also Overruns Spirit Of Mozart, in: Classical Voice North Amercia, 10.05.2017


Die Zauberflöte / Sarastro – WA Vlaanderen Opera Antwerpen und Gent
Musikalische Leitung: Jan Schweiger; Inszenierung: David Hermann, Dez 2016/Jan 2017

„Ante Jerkunica se montre, une fois de plus, excellent en Sarastro : voix puissante, timbre magnétique, phrasé parfait.“
— Sébastien Foucart, Une Flûte pour adultes, in: ConcertoNet, 17.01.2017

„ le Sarastro plein de noblesse et d’aisance de la basse croate Ante Jerkunica“
— Emmanuel Andrieu, Une Flûte enchantée (plus que) « trash » à l’Opéra de Flandre, in: Opera Online, 16.01.2017

„Het grootste applaus ging trouwens naar Sarastro, de Kroatische bas Ante Jerkunica die net als in 2012 deze rol speelde, ook al moest die met een lange onderbroek in bad op de scène, wat – terecht – voor de nodige hilariteit zorgde.“
— Bert Hertogs, Recencie Die Zauberflote, in: Concertnews.be, 31.12.2016

„Immense basse, Ante Jerkunica quitte Wagner pour Mozart avec un bel avantage: le Croate habite Sarastro d’un chant doux et franc qui nous le rend tout de suite attachant.“
— Hervé König, Chroniques. Die Zauberflöte | La flûte enchantée. Singspiel de Wolfgang Amadeus Mozart, in: Anaclase, 15.01.2017


Les Huguenots / Marcel – NP Deutsche Oper Berlin
Musikalische Leitung: Michele Mariotti; Inszenierung: David Alden, Nov 2016 – Febr 2017

„Zu den großen Höhepunkten des Abends gehören sicherlich die Arien des hervorragenden Basses Ante Jerkunica, der die abgründige Rolle des Marcel mit Bravour verkörpert.“
— Corina Kolbe, Liebe überwindet Religionshass: Meyerbeers „Hugenotten“ an Deutscher Oper Berlin, in: Musik Heute, 14.11.2016

„Marcel, ein religiöser Eiferer auf Seiten der Hugenotten, welchem Ante Jerkunica seine imposante Bassstimme lieh. Eindringlich sein Spottlied im ersten Akt, sein Gebet im dritten und berührend gestaltet die Vermählungsszene als schwer Verwundeter im letzten Akt.“
—Kaspar Sannemann, Berlin, Deutsche Oper: Les Huguenots, 13.11.2016, in: oper-aktuell, 13.11.2016

„But my favourite of all is Marcel’s show-stealing “Piff Paff” aria, where the elderly Protestant retainer, at a banquet in polite Catholic company, is taunted into singing and duly produces a violent anti-Catholic misogynist rant: the towering figure of Ante Jerkunica, clad in black, bible and carbine in hand, took charge of the stage and delivered a superb piece of bass singing.“
— David Karlin, Grand opéra, grand singing: Les Huguenots at Deutsche Oper, in: bachtrack, 14.11.2016

„Diener Marcel (stimmgewaltig: Ante Jerkunica)“
— dpa-Nachricht: Meyerbeers «Hugenotten» in Berlin gefeiert, in: Bild, 14.11.2016

„Bassist Ante Jerkunica (Marcel) hinterlässt den nachhaltigsten Eindruck – stimmlich sowie mimisch. Er ist zwar „nur“ als ein Diener seines Herrn besetzt, aber die Rolle wird durch ihn gewissermaßen aufgeadelt.“
— Andre Sokolowski, „Piff, paff, puff“/ Die Hugenotten an der Deutschen Oper Berlin, in: Kultura-Extra / der Freitag, 14.11.2016

„Dafür übertrifft Ante Jerkunica, der seit Jahren zum festen Ensemble der Deutschen Oper gehört, sich selbst so sehr, dass man ihn kaum wiedererkennt – nicht nur, weil er sich die Haare geschnitten hat. Er war noch nie schlecht, aber jetzt ist er einfach unglaublich. Sein Bass bleibt selbst in den absurden Tiefen, die ihm Meyerbeer zumutet, kräftig und und so klangvoll wie in den Höhen, die er ebenfalls mühelos erreicht. Er spielt einen treuherzigen, aber dumm gläubigen und mordlustigen Hugenotten so überzeugend, dass man am Ende mit dieser eigentlich besonders abstoßend grotesken Figur sogar ein wenig Mitleid empfindet.“
— Niklau Hablützl, Christen unter sich, in: taz, 14.11.2016

„dem fulminanten Marcel von Ante Jerkunica“
— Dieter David Schlz, Von Instrumentalisierung bis zu offener Feindschaft, in: Deutschlandfunk, Musikjournal, 14.11.2016

„Umgehauen hat Ante Jerkunica, der schon lange am Haus ist, und dessen bis in die Tiefe wandlungsfähigem Bass eigentlich ganz Berlin zu Füßen liegen müsste. Er singt Raouls alten Diener Marcel. Zu Beginn ist das ein fundamentalistischer Prediger gegen alles Schöne, später durchziehen ihn Angst und Sorge, am Ende, wird er zum Tröster.“
— Harald Asam, ‚Die Hugenotten‘ in der Deutschen Oper, in: INFOradio RBB, Sendung Kultur, 14.11.2016

„Ante Jerkunica gibt dieser Rolle furchterregende Präsenz.“
— Clemens Haustein, Opern-Kritik „Die Hugenotten“-Premiere an der Deutschen Oper, in: Berliner Zeitung, 14.11.2016

„Sängerisch ist es ein Fest der Stimmen, allen voran die des Basses von Ante Jerkunica als Raouls Diener Marcel. Es laufen einem kalte Schauer den Rücken hinab, wenn er den Luther-Choral anstimmt.“
— Jürgen Liebing, Giacomo Meyerbeers „Hugenotten“: Sängerisch ein Fest, in: Märkische Oderzeitung, 14.11.2016

„Di forte impatto la prova di Ante Jerkunica, un Marcel dai toni imperiosi“
— Stefano Nardelli, Il ritorno dell’opera kolossal, in: Giornale della musica, 13.11.2016

„Il Marcel di Ante Jerkunica, basso di casa, ha ricevuto gli applausi più calorosi della serata, forse perché nei momenti più lirici come la sua scena prima del duetto con Valentine o nell’Interrogatoire del quinto atto ha fraseggiato con una certa dignità, mente sia il Corale che il canto guerriero del primo atto hanno evidenziato la sua assoluta incapacità di gestire gli acuti che li rimangono nella gola, come anche una proiezione penalizzata da un’emissione del tutto ingolata, facendone una voce che sparisce ad ogni innalzarsi del volume orchestrale.“
— Giuditta Pasta, Lindoro de Nangis ossia Les Huguenots alla Deutsche Oper di Berlino, in: Musica lirica corgrisi.com, 15.11.2016

„Ante Jerkunica est Marcel, le serviteur et ami de Raoul. Il apporte beaucoup de profondeur et d’humanité à ce personnage sombre et fruste et se montre particulièrement émouvant dans la prière de l’acte III.“
— Nicolas Chaplain, Les Huguenots à Berlin : un fatras inutile sauvé par les chanteurs, in: Toute La Culture, 15.11.2016

„Den größten Eindruck des Abends macht (nicht nur auf mich) Ante Jerkunica als Raouls alter Diener Marcel. Zuerst wettert er mit Donnergewalt gegen die verdorbenen Katholiken, möchte sie ebenfalls ermorden und – noch schlimmer – ihnen auch Gottes Gnade entziehen. Sein kräftiger Bass gurgelt hinunter in die Tiefe und ist selbst dort noch voller Klang.
Der zornige Prediger wächst jedoch mehr und mehr in die Rolle des Beschützers hinein und agiert sogar – den Tod aller vor Augen – zuletzt als Priester, der das junge Paar traut.“
— Ursula Wiegand, Berlin/ Deutsche Oper: „Die Hugenotten“ von Giacomo Meyerbeer,  Große Oper und ganz aktuell, Premiere, 13.11.2016, in: Der Neue Merker, 13.11.2016

„Für den bramarbasierenden Haudegen Marcel, der im Konflikt der christlichen Religionen irritierend oft das Wort „Israel“ in den Raum wirft, vom Regisseur als eine Art Mephisto gedeutet, muss Ante Jerkunica gesanglich satte Basstöne mit rezitativischer Baritonlage mischen.
Am Ende lange ausgedehnter Applaus mit Standing Ovations für den Dirigenten und seine „sieben Weltklassesänger“ (Marlotti).“
— Peter P. Pachl, Neuinszenierung von Meyerbeers „Les Huguenots“ an der Deutschen Oper Berlin, in: nmz, 15.11.2016

„Ihm  [Anm: Juan Diego Flórez] zur Seite steht ein ausgezeichnetes Solistenensemble. Ante Jerkunica wird als Marcel mit herrlich dunklem Bass-Timbre zum religiös fundamentalistischen Gegenpol der Lebensfreude Raouls.“
— Josef Schmitt, Flórez als bravouröser Hugenotte, in: Die Presse, 17.11.2016

„Hervorragend besetzt waren die tiefen Partien, angeführt von Ante Jerkunica als Raouls Diener Marcel, der die Aufführung mit autoritärem, raumgreifendem Bass prägte, den Choral „Ein feste Burg“ machtvoll intonierte und das Chanson huguenotte „Piff-Paff“ effektvoll zur Schau trug.“
— Bernd Hoppe, Meyerbeer-Hausse, in: Opera Lounge, 15.11.2016

„Unübertroffen zudem Ante Jerkunica als Raouls Kurwenal-gleicher Gefährte Marcel, dessen markanter und in der empathischen Emphase balsamischer Bass heutzutage seinesgleichen auf den Opernbühnen der Welt sucht.“
— Achim Dobrowski, Niedergang einer Gesellschaft, in: Opernnetz, 17.11.2016

„Di grande impatto scenico il croato Ante Jerkunica, il servo Marcel, molto raffinato nel corale luterano “Ein feste Burg”. Questo ruolo sembra fatto su misura per lui.“
— Carla Andrea Fundarotto, Die Hugenotten e i ’nuovi cattolici‘ di Alden al Deutsche Oper di Berlino, in: blasting news, 22.11.2016

„Ante Jerkunica as pious and faithful Marcel is formidable, with a bass that has depth, flexibility and huge communicative power.“
— Shirley Apthorp, Les Huguenots, Deutsche Oper Berlin: singing with assurance and intensity, in: Financial Times, 18.11.2016

„la basse croate Ante Jerkunica apporte à Marcel des moyens imposants et une juste vocalité, avec des notes graves d’outre-tombe et un français plus que correct.“
— Emmanuel Andrieu, Compte-rendu, opéra. Berlin, Deutsche Oper, le 17 novembre 2016. Meyerbeer : Les Huguenots. Juan Diego Florez, Patrizia Ciofi…Michele Mariotti, direction., in : Classiquenews.com, 22.11.2016

„Für die Hugenotten braucht man sieben Spitzensänger, über die die Deutsche Oper verfügt. Neben den Genannten ist das ganz besonders der kroatische Bass Ante Jerkunica in der Rolle des Dieners Marcel. Mit einer stimmlichen Eleganz und sonor strömenden Tiefe à la Siepi gestaltet Jerkunica seine Rolle eines fanatisierten Protestanten“
— Dr. Ingobert Waltenberger, Berlin/ Deutsche Oper: Die HUgenotten – Juan Diego Florez in einer neuen Glanzrolle, in: Der Neue Merker, 20.11.2016

„Ante Jerkunica lässt mit seinem voluminösen Bass die Wände wackeln, dieser blutrünstige Frömmling klingt wie direkt aus den tiefsten Feuern der Hölle heraufgestiegen. Ein Unstern, dennoch der heimliche Star des Abends. Seine Figur wird sich im Lauf des Abends überraschend und anrührend öffnen.“
— Albrecht Selge, 23.11.2016 – Stilbruchreich: Meyerbeers „Hugenotten“ an der Deutschen Oper, in: hundert11 – Konzertgänger in Berlin, 24.11.2016

„Immense bellowing bass Ante Jerkunica preceded Ciofi in a compelling portrayal of anti-Catholic sentiment in the ricocheting „Piff Paff“ aria as Raoul’s servant and Huguenot soldier, the loose gun Marcel. In every appearance Jerkunica loomed high as a rough diamond while not only belting out brilliant strength but capturing the quiet, doleful and fine-edged voice of the inner soul.“
— Splendidly sung, astutely referenced and never dull: Meyerbeer’s Les Huguenots at Deutsche Oper Berlin, in: Operachaser, 18.11.2016

„Jednoznačnou hviezdou večera bol po speváckej aj hereckej stránke Ante Jerkunica ako Raoulov starý sluha Marcel. Sonórnym basom s dokonale rezonujúcimi hĺbkami presne vyvážil pomer oddaného ochrancu svojho mladého pána i zúrivo zarytého, až fanatického protestanta.“
— Vladimíra Kmečová, Renesancia Meyerbeera v Deutsche Oper Berlin, in: Opera Slovakia, 23.11.2016

„Ante Jerkunica als Marcel, der seinen tiefen Bass unermüdlich in den Dienst der heiligen Handlungssache stellt. „Ungestrichen“ wie nun hier in Berlin ist es die längste Partie und die Schlüsselfigur der ganzen Oper.“
— Michael Lehnert, Berlin „Les Huguenots“ 13. November Deutsche Oper, in: das Opernglas, S. 7/8, 12/2016


La Juive / Cardinal Jean-Francois de Brogni  – Bayerische Staatsoper München
Musikalische Leitung: Bertrand de Billy; Inszenierung: Claixto Bieito, Oktober 2016

„Ante Jerkunica als Kardinal Brogni trotzt aller Bühnendunkelheit, indem er – welch Ironie – mit rabenschwarzem, autoritärem Bass auftrumpft. Fantastisch!“
— La Juive / München (30.10.2016), in: Opernschnipsel, 01.11.2016


Parsifal / Titurel – Teatro Real in Madrid (Koproduktion Oper Zürich, Gran Teatre del Liceu Barcelona)
Musikalische Leitung: Semyon Bychkov; Inszenierung: Claus Guth, April 2016

„Pour incarner les six grands personnages de l’ouvrage, hors Dieu, le Teatro Real de Madrid a réuni une distribution wagnérienne éprouvée, puisque tous, hormis Ante Jerkunica, sont passés à plusieurs reprises par le Festival de Bayreuth.
Justement, la basse croate est le véritable mystère de la soirée. Car il y a quelque chose d’incompréhensible à entendre ce formidable chanteur, ténébreux mais également franc de timbre, animé par une inspiration humaine entière et un brillant dans le regard qui humanisent ses volumineuses intonations, et regretter qu’il ne soit pas plus présent sur les grandes scènes internationales.
C’est d’autant plus flagrant que Claus Guth lui donne un rôle au départ très affaibli, mais qui révèle une véritable force de la nature buvant le sang de la vie, et méritant un splendide cercueil laqué, lors de son passage vers l’autre monde.“
— Parsifal (Vogt-Kampe-Selig-Roth-Guth-Bychkov) Madrid, in : Formalhaut, 26.04.2016

„Ante Jerkunica un ideal cavernoso Titurel“
— Gonzalo Alonso, Guth construye el monstruo, in: La Razón, 04.04.2016

„estupendo el Titurel de Jerkunica“
— Mariano Hortal, Parsifal de Richard Wagner en el Teatro Real: épica mística, in: Opera World, 25.04.2016

„Excelente Titurel, en voz de Jerkunica“
— Ilia Galán, El Wagner más místico, in: Diario de Ávila, 11.04.2016

„Se il Titurel di Ante Jerkunica è perfetto (un basso profondo dall’emissione nitida e solida)“
— Michele Curnis, Madrid, Teatro Real: “Parsifal”, in: GBOpera, 24.04.2016


Das Liebesverbot / Brighella – NP Teatro Real Madrid
Musikalische Leitung: Ivor Bolton; Inszenierung: Kasper Holten, Februar-März 2016

„Brighella, chef de police peu scrupuleux, auquel la basse Ante Jerkunica prête ses talents bouffons et ses graves confortables.“
— Emmanuel Dupuy, La Défense d’aimer de Wagner : résurrection en demi-teinte au Teatro Real de Madrid, in : Díapason, 22.02.2016


Demon / Fürst Gudal (konzertant) – La Monnaie Bruxelles
Symphonieorchester des La Monnaie; musikalische Leitung: Mikhail Tatarnikov, Januar 2016

„Ante Jerkunica, qui chante le Prince Gutal, père de la belle Tamara, est probablement la plus belle voix de la distribution. Ampleur, justesse impeccable, de la prestance, le chanteur croate incarne magnifiquement ce rôle de père noble qui lui sied comme un gant.“
— Claude Jottrand, Démon – Bruxelles (Bozar), in: Forum Opera, 24.01.2016

„The vocal part of Tamara’s old broken-hearted father Prince Gudal might have been written specially for the experessive and flexible bass of Ante Jerkunica.“
— Olga de Kort, Melodical treasures and romantic pathos of Rubinstein’s The Demon, in: bachtrack, 28.01.2016


La Favorite / Balthazar (konzertante Aufführung) – Deutsche Oper Berlin
Orchester der Deutschen Oper Berlin; Musikalische Leitung: Pietro Rizzo, Dezember 2015

„Ante Jerkunica singt mit großartigem lebenssattem Bass einen doppelgesichtigen Prior, der sich erst gütig gegen seinen Novizen zeigt, um später die Fratze des skrupellosen Machtpolitikers zu offenbaren.“
— Udo Badelt, Eine Liebe zum Tod, in: Der Tagesspiegel, 03.12.2015

„Auch der kroatische Bass und Ensemblemitglied der Deutschen Oper Berlin Ante Jerkunica als Balthazar, Prior des Klosters Santiago de Compostela, ist ein ganz erstklassiger Sänger. Sein warmer fülliger Bass hat balsamischen Wohlklang ebenso drauf wie herrische Attitüde und vokale Autorität.“
— Dr. Ingobert Waltenberger, La Favorite, Deutsche Oper Berlin konzertante Aufführung 5.12.2015 – Tolle Ensembleleistung getrübt durch die Absage Callejas, in: Der Neue Merker, 07.12.2015

„Ante Jerkunica ist ein würdevoller Klosterprior mit erzenem Bass“
— Karin Coper, Liebestod im Kloster, in: Opernnetz, 02.12.2015


Aida / König von Ägypten – NP Deutsche Oper Berlin
Musikalische Leitung: Andrea Battistoni; Inszenierung: Benedikt von Peter, November 2015

„Ante Jerkunica singt einen König von wahrlich majestätischer Klangkultur“
— Detlef Brandenburg, Im Kopf des Radames, in: Die deutsche Bühne, 23.11.2015

„Fantastisch die beiden Bässe Ante Jerkunica (König) und Simon Lim (Ramfis), welche sich durch die leicht unterschiedlich gefärbte Schwärze ihrer Stimmen sehr gut voneinander abheben (vor allem da man sie aus dem Parkett heraus nicht sehen kann).“
— Kaspar Sannemann, Berlin, Deutsche Oper: AIDA, 22.11.2015, in: oper aktuell, 22.11.2015

Aida gilt als ein Werk, das heute nahezu unbesetzbar ist. Daran gemessen, hat das Casting-Büro erstaunliche Arbeit geleistet. Nicht nur weil Markus Brück seinen Amonasro mit sardonischem Rigoletto-Ton ausstattet und Ante Jerkunica den König wirklich königlich singt.“
— Kai Luehrs-Kaiser, Deutsche Oper Berlin: „Aida“, in: kulturradio, rbb, 23.11.2015

„Auf ihrer Spitze ertönt vom Balkon herab die Stimme des ägyptischen Königs, dem Ante Jerkunica imposante Klangwucht verleiht.“
— Julia Spinola, „Aida“ mit anderen Ohren gehört, in: Deutschlandfunk, Kultur heute, 23.11.2015


Tannhäuser / Landgraf Hermann – NP Vlaamse Opera
Dirigent: Dmitri Jurowski; Inszenierung: Calixto Bieito, September/ Oktober 2015

„Ante Jerkunica complète ce podium avec un Landgrave de toute beauté. Le grain ténébreux et le volume sidérant campent avec autorité un personnage que la mise en scène s’évertue à montrer sous un jour complexe et pervers.“
— David Verdier, A Gand, un déroutant Tannhäuser signé Calixto Bieito, in: Res Musica, 25.09.2015

„Et le Landgrave magnifique d’Ante Jerkunica, par la voix et le phrasé, mène son monde avec autorité.“
— Didier van Moere, Opéra de Gand : Tannhäuser revu par Calixto Bieito, in : Diapason, 28.09.2015

„Ante Jerkunica sang the Landgraf with wonderfully resonant low notes, the tone warm and generous.“
— The Power of Nature: Tannhäuser at the Opera Vlaanderen, in: operatraveller, 28.09.2015

„Daarentegen leveren bariton Daniel Schmutzhard en bas Ante Jerkunica wel een overweldigende performance.“
[Dagegen boten Bariton Daniel Schmutzhard und Bass Ante Jerkunica eine überwältigende Vorstellung.]
— Philipp Kocks, Review Opera Tannhäuser, in: Tumult.fm, 28.09.2015

„De overige rollen waren adequaat bezet, met als uitschieter de Landgraf Hermann van Ante Jerkunica.“
[Die anderen Rollen waren adäquat besetz, mit dem Glanzpunkt Landgraf Hermann von Ante Jerkunica.]
— Peter Franken, Bieito maakt intense Tannhaüser, in: Place d’Opera, 21.09.2015

„On retrouve avec plaisir l’excellente Aurine Stundyte en Venus et le formidable Ante Jerkunica en Hermann“
— Nicolas Blanmont, Départ brillant, retour raté, in: La Libre (Belgique), 28.09.2015

„Hervorzuheben sind da noch Ante Jerkunica mit dunklem voll tönendem Bass als Landgraf Hermann und Daniel Schmutzhard als Wolfram von Eschenbach. Wieder einmal ist es der Flämischen Oper gelungen, eine kohärente Besetzung für ein anspruchsvolles Werk zu verpflichten.“
— Hans Reul, Premierenbesprechung: Tannhäuser an der Flämischen Oper, in: BRF Belgischer Rundfunk, 23.09.2015

„Ante Jerkunica lijkt steeds beter te worden. Wagner is toch echt wel mijn vak, zo leek hij te zeggen. Zo perfect was zijn dictie, gekoppeld aan een erg mooi timbre en dito frasering.“
[Ante Jerkunica scheint sich stets zu verbessern. Wagner ist doch wirklich mein Gebiet, so schien er zu sagen. So perfekt war seine Ausdrucksweise, verbunden mit einem sehr schönen Klang und auch Phrasierung.“
— Jos Hermans, Calixto Bieito met TANNHÄUSER in Gent, in: Leidmotief, 21.09.2015

„Tot va funcionar a un nivell correcte, però només el Heinrich d’Ante Jerkunica va tenir una prestació vocal sobirana.“
[Alles klappte auf respektablem Niveau, aber lediglich der Heinrich von Ante Jerkunica bot eine souveräne Gesangdarbietung]
— Xavier Cester, Natura contra civilització: Calixto Bieito dirigeix ‚Tannhäuser‘ a l’Òpera de Flandes, in: El Cronista Errant, 28.09.2015


Die Zauberflöte / Sarastro – Opéra National de Paris (Bastille)
Dirigent: Constantin Trinks; Inszenierung: Robert Carsen, April-Mai 2015

„Le Sarastro d’Ante Jerkunica est très noble et le timbre de cette basse profonde nous a également beaucoup séduit.“
— Sonia Hossein-Pour, Le vrai sage ne rêve plus, in: ForumOpera.com, 17.04.2015

„Più centrato invece il Sarastro di Ante Jerkunica, dotato di timbro pastoso e di adeguata autorevolezza scenica.“
— Daniele Galleni, Parigi – Opéra Bastille: Die Zauberflöte, in: OperaClick, 17.04.2015


Rigoletto / Sparafucile (konzertant) – Concertgebouw Amsterdam
Radio Filharmonisch Orkest; Dirigent: James Gaffigan, März 2015

„The other roles were all well cast. I particularly liked Ante Jerkunica, whose towering presence and deep and dark bass sound made the thug Sparafucile a thoroughly threatening character.“
— Nicolas Nguyen, James Gaffigan conducts a full-blooded Rigoletto at the Concertgebouw, in: Bachtrack, 16.03.2015


Chowanschtschina / Iwan Chowanski – NP Vlaamse Opera Antwerpen
Dirigent: Dmitri Jurowski; Inszenierung: David Alden

„Vorzüglich agiert der virile Bass Ante Jerkunica. Mit baritonalem Timbre bestreitet er die Partie des Vaters“
— Frieder Reininghaus, Bilder aus dem Niemandsland, in: Neue Musikzeitung, 02.11.2014

„le prince Ivan Khovanski d’Ante Jerkunica, fabuleux Sarastro de la production de Die Zauberflöte dans ce même théâtre l’an dernier, « steels the show » par une voix caverneuse, et un indéniable charisme.“
— Bruno Peeters, Une Khovantchina au coeur de la tragédie russe, in : Crescendo Magazine (BE), 05.11.2014


Tristan und Isolde / König Marke – WA Aalto Theater Essen
Dirigent: Peter Schneider; Inszenierung: Barrie Kosky, November 2013

„Ante Jerkunica gelang ein aufwühlender König Marke, der sich zwar kaum bewegen darf, aber alle Bewegung in die Stimme transferiert. Geradezu liedhaft und ruhig beginnt er seinen Monolog und beendet ihn mit großer, fast baritonaler Stimme, die der tiefen Verzweiflung wunderbar entspricht.“
— Kerstin Voigt, Essen: „TRISTAN UND ISOLDE“ –10.11. 2013  Überwältigende Orchesterleistung, in: Der Neue Merker, 10.11.2013


Tristan und Isolde / König Marke – NP Vlaamse Opera Antwerpen/Gent
Dirigent: Dmitri Jurowski, Regie: Stef Lernous, September/Oktober 2013

„on est enthousiaste pour le Marke de bronze noble d’Ante Jerkunica“
— Nicolas Blanmont, Wagner, l’amour dans les toilettes, in : La Libre (Belgique), 02.10.2013


Les pêcheurs de perles / Nourabad (konzertant) – Konzerthaus Berlin
Orchester der Deutschen Oper Berlin, Dirigent: Guillermo García Calvo, Juni 2013

„Kongenial gelang Ante Jerkunica die Nebenrolle des Nourabad. Er packte sein gesamtes Potential in die kurze Partie und war einmal mehr als führender Bass der Deutschen Oper zu erleben – von der überreich strömenden Fülle und Warmherzigkeit bis zum eiskalten Ausbruch.“
— Rosemarie Frühauf – Kultur – „Die Perlenfischer“ von Bizet mit Joseph Calleja im Konzerthaus am Gendarmenmarkt Berlin – , in: The Epoch Times Deutschland, 08.06.2013


Der fliegende Holländer / Daland (konzertant) –  Philharmonie Berlin
Orchester der Deutschen Oper Berlin; Musikalischen Leitung: Donald Runnicles, Mai 2013

„Ante Jerkunica als Daland (bzw. Donald) beeindruckt mit viriler, fast jugendlicher Kavaliershaftigkeit.“
— Kai Luehrs-Kaiser, Philharmonie Berlin: „Der fliegende Holländer“. Gelungene konzertante Aufführung der Urfassung von 1841, in: RBB kulturradio, 28.05.2013

„Ante Jerkunica mit überragend voluminösem Bass und müheloser Textverständlichkeit“
— Rosemarie Frühauf, Deutsche Oper gibt Fliegenden Holländer in der Philharmonie Berlin, in: The Epoch Times, 29.05.2013


Die Walküre / Hunding – Oper Frankfurt
Musikalische Leitung: Sebastian Weigle; Regie: Vera Nemirova, Januar/Februar 2013

„Ante Jerkunica ist ein Macho-Hunding, dessen gewalttätige Disposition so beängstigend ist wie sein nachtschwarzer Bass.“
— Der Neue Merker, Werner Häußner, 27.01.2013


Die Zauberflöte/Sarastro – Vlaamse Opera Antwerpen und Gent
Dirigent: Tomáš Netopil / Yannis Pouspourikas; Regie: David Hermann, 2012

„Dem Sarastro von Ante Jerkunica als selbstherrliche ‚Krone der Schöpfung‘ liegt die Partie superb in der Kehle, und die noble Wirkung seines herrlich strömenden Organs lässt diesen als Gutmenschen getarnten Big Brother umso gefährlicher erscheinen, je sorgfältiger er seine Sammlung ausgestopfter Tiere pflegt und je moralischer er sein keineswegs nur fürsorgliches Interesse an Pamina verpackt.“
— Das Opernglas, B. Kempen, 02/2013

„ Pour la partie musicale, il faut surtout retenir le nom d’Ante Jerkunica dans le rôle de Sarastro. Une voix de basse exceptionnelle comme on en entend rarement.“
— ConcertoNet, Benjamin Duvshani, 01.01.2013

„Machtige, sonore stem en veel humor heeft deze bas uit Kroatië.“
[Er hat eine kraftvolle, sonore Stimme und viel Humor, dieser Bass aus Kroatien]
— operamagazine.nl/ Place de l’Opera, Francois van den Anker, 13.12.2012

„Ante Jerkunica was met zijn zachte en toch karaktervolle stem, een droom van een bas voor de partij van Sarastro. De gesproken teksten werden met duidelijke dictie en vlot in het muzikale verloop gebracht.“
[Ante Jerkunica mit seiner weichen, aber unverwechselbare Stimme, ein Traum von einem Bass für die Partie des Sarastro. Die Texte wurden mit klarer Diktion und fließend in der musikalischen Aufgeladenheit gesprochen.]
— Klassiek Centraal, Lucrèce Maeckelbergh, 17.12.2012

„Ante Jerkunica is een overweldigende Sarastro met een diepe bas (alle mogelijke lage opties passeren de revue) en een fantastisch ronkend timbre.“
[Ante Jerkunica ist ein überwältigender Sarastro mit tiefem Bass und einem fantastisch mächtigem Timbre.]
— GoOpera.com, 17.12.2012


Die Zauberflöte/Sarastro – Vlaamse Opera Antwerpen
Dirigent: Tomáš Netopil / Yannis Pouspourikas; Regie: David Hermann, 2012

„Dem Sarastro von Ante Jerkunica als selbstherrliche ‚Krone der Schöpfung‘ liegt die Partie superb in der Kehle, und die noble Wirkung seines herrlich strömenden Organs lässt diesen als Gutmenschen getarnten Big Brother umso gefährlicher erscheinen, je sorgfältiger er seine Sammlung ausgestopfter Tiere pflegt und je moralischer er sein keineswegs nur fürsorgliches Interesse an Pamina verpackt.“
— Das Opernglas, B. Kempen, 02/2013


Die Zauberflöte/Sarastro – Deutsche Oper Berlin, 2012

„Ante Jerkunica, dans le rôle de Sarastro, est doté d’un grave rond et généreux jusqu’aux notes les plus basses.“
[Ante Jerkunica in der Rolle des Sarastro hat eine runde und großzügige Tiefe bis zu den tiefsten Noten.]
— Forum Opéra, Thierry Bonal, 02.11.2012


Dvě vdovy / Mumlal – NP Angers, Nantes
Regie: Jo Davies, Musikalische Leitung: Mark Shanahan; September-Oktober 2012

„Mumlal est un personnage un peu caricatural et naïf et la plupart de sa musique est d’allure pittoresque et populaire. Le basse croate Ante Jerkunica est non seulement excellent comédien dans ce rôle, sa voix est grande comme le monde mais aussi chaleureuse et onctueuse, ce qui fait de son Mumlal un être effectivement grognon et drolatique, surtout humainement juste inspirant aussi de la tendresse. Sa chanson bougonne du deuxième acte rappelle Osmin de L’Enlèvement au Sérail. Il est présent dans les deux quatuors de l’œuvre (les ensembles les plus radieux et les plus intenses) et son trio avec le couple des servants au deuxième acte est très amusant.“
— Classique News, Adrien De Vries, 21.10.2012

„Rôle de caractère, Mumlal sied à merveille à Ante Jerkunica, doué d’une présence aussi admirable que sa vis comica.“
— Concert Classic, Alain Cochard, 03.10.2012

„Ante Jerkunica campe un fort séduisant garde-chasse, rond et sonore“
— alta musica, Olivier Rouviere, 19.10.2012

„Dans le rôle comique de Mumlal, la basse croate Ante Jerkunica, à la voix sonore dotée de graves profonds, ravit par sa faconde communicative.“
— ConcertoNet, Emmanuel Andrieu, 05.10.2012

„Un plateau vocal idéal. Le premier acte privilégie ainsi les aspects bouffes, principalement avec les pitreries du Mumlal d’Ante Jerkunica (magnifique timbre de basse, au sens comique affirmé) et l’irrésistible scène du vrai-faux procès du maraudeur.“
— Les Trois Coups, Florent Coudeyrat, 25.10.2012

„Et voici qu’arrive Mumlal, le gardien du parc, pour se plaindre d’un braconnier particulièrement impertinent. Je dois avouer que Mumlal est presque mon personnage préféré dans cet opéra. Quiconque aime l’Antonio des Noces mozartiennes, et se sent frustré de ne pas avoir eu droit à davantage des ses opinions et idées, sera comblé avec Mumlal. Ante Jerkunika l’interprète avec un joyeux abandon et une voix de basse souple et subtile au grondement  de velours. Mumlal est la partie de basse du quatuor vocal (le ténor n’est pas loin !) et aussi la personnification de l’humour et de l’ironie qui sont si présents dans cette oeuvre.“
— Una Voce Poco Fa, Suzanne Daumann, 09.10.2012


Don Carlo/Grandinquisatore – Deutsche Oper Berlin, 2011

“ Von den Männern imponiert am meisten der profunde Bass von Ante Jercunica, der den Großinquisitor mit jener mörderischen Unwiderstehlichkeit singt, die dem unumstößlichen Wegweiser des Glaubens das rechte, unausweichliche Abbild gibt. Eine Meisterleistung.“
— Berliner Morgenpost, Klaus Geitel, 25.10.2011

„Ante Jerkunicas Großinquisitor und Ryan McKinnys Mönch ließen hören, dass die Deutsche Oper gegenwärtig vokal in Berlin führt.“
— Die Welt, Manuela Brug, 25.10.2011

„Roberto Scandiuzzi gab den König Philipp als ausgebrannten, müden Mann, dessen Singen wie ein Stöhnen erschien, das zu kunstvoller Form gefunden hatte, so als sei die Kunst die einzige Form, die dieser mürbe Monarch noch wahren konnte. Wenn ihm Ante Jerkunica als steinalter Großinquisitor eine viel größere Festigkeit entgegensetzte, so passte dies zu Philipps resignativer Behauptung, dass der Altar den Thron immer überrage.“
— Frankfurter Allgemeine Zeitung, Jan Brachmann, 25.10.2011

„Der Dialog zwischen Roberto Scandiuzzi als Philipp II. und Ante Jerkunica als Großinquisitor wird auch hier zur Schlüsselszene, die unter die Haut geht. Scandiuzzis golden glänzender Bass wird fahl unter der schneidenden Härte, mit der Jerkunica seine grauenvollen, religiösen Dogmen durchsetzt.“
— taz, Niklaus Hablützel, 25.10.2011

„Ante Jerkunicas kräftiger Bass lässt keinen Zweifel daran, dass selbst der König ihn, den hinfälligen Großinquisitor, fürchten muss und nicht umgekehrt.“
— Der neue Merker, Ursula Wiegand, 25.10.2011

“Ante Jerkunica was an imposing Grand Inquisitor”
— NPR Berlin (Public Radio), Rebecca Schmid, 26.10.2011


Macbeth/Banquo – Deutsche Oper Berlin, 2011

„Mit eindrucksvollem Basso profondo gestaltet Antje Jerkunica den Banquo.“
— Neue Musik Zeitung, Peter P. Pachl, 13.06.2011

„Ante Jerkunica gibt Banquo als Todgeweihten von Anfang an und überzeugt durch stimmliche Sonorität“
— Der Tagesspiegel, Christine Lemke-Matwey, 13.06.2011

„Ante Jerkunicas Banquo hat deutlich größere Ausstrahlung, die Arie kurz vor seiner Ermordung durch Funktionäre auf einer Behörde ist von bewegendem Ernst.“
—Berliner Zeitung, Peter Uehling, 14.06.2011

„Mit düsterer Bass-Sonorität gestaltet Ante Jerkunica den einstigen Kampfgenossen und Konkurrenten Banquo, eine imposante Figur.“
— Berliner Morgenpost, Volker Blech, 14.06.2011

„Die schönsten Stimmen des Abends waren der wohltuend fokussierte Tenor Pavol Breslik als Macduff, der für seine Arie gehörigen Applaus einheimste, sowie der auf Klangschönheit singende Ante Jerkunica, dessen Banquo noch menschliche Züge haben durfte.“
— The Epoch Times, Rosemarie Frühauf, 15.06.2011

“Ante Jerkunica wordt altijd graag gehoord, met dank aan zijn fluwelen stem en zijn prachtige tekstinterpretatie, die hij ook als Banco laat horen.”
[Ante Jerkunica hört man immer wieder gerne, dank seiner samtenen Stimme und seiner prächtigen Textinterpretation, lässt er auch als Banco aufhorchen.“]
Operamagazine.nl/Place de l’Opera, Alessandro Anghinoni, 14.06.2011

„Es ist daher schwer, sich mit ihr [Anm: Anna Smirnova in der Rolle der Lady Macbeth] stimmlich anzulegen. Ante Jerkunica oder Pavol Breslik tun es trotzdem und sehr bravourös.“
— Kultur-Extra, Arthur S Janetz, 17.06.2011

„Obwohl die musikalische Seite hervorragend war: […] Ante Jerkunica war ein kantiger Banquo, Pavol Breslik ein tenorgestählter Macduff.“
— Die Welt, Manuel Brug, 14.06.2011

„Banquo und Malcolm sind mit Ante Jerkunica und Jörg Schörner bestens besetzt.“
— Klassik.com, Michaela Schabel, 12.06.2011

„Ante Jerkunica sang ihn [Banquo] mit sonorem Verdi-Sound.“
— Neues Deutschland, Irene Constantin, 16.06.2011

„Ante Jerkunica überzeugt als ein väterlich-sorgenvoller Banquo mit sonorem Bass.“
— Theater- und Filmkritiken, Rainer Allgaier, 17.06.2011

„Ante Jerkunicas Banquo ging gefaßt und mit schönem Baß in die heimtückische Mordfalle.“
— Nachtkritik, 14.06.2011


Samson et Dalila/Alter Hebräer – Deutsche Oper Berlin, 2011

„De enige die op alle fronten een goede indruk achterliet, was Ante Jerkunica als de oude Hebreeër. Zijn machtige bas zong luid en duidelijk in de rondte, indrukwekkend en geloofwaardig. Hij kreeg na afloop zelfs net zoveel gejuich als de twee hoofdrolspelers bij elkaar. Dat mag verbazingwekkend heten.“
[Der einzige, der an allen Fronten einen guten Eindruck hinterließ, war Ante Jerkunica als alter Hebräer. Sein kraftvoller Bass erklang laut und deutlich in die Runde, eindrucksvoll und glaubwürdig. Entsprechend bekam er auch so viel Beifall wie die beiden Hauptprotagonisten zusammen. Das ist bemerkenswert.]
— Operamagazine.nl/Place de l’Opera, Kevin Clarke, 17.05.2011

„Mit sonorer Wärme beeindruckte Bassist Ante Jercunica, der als alter Hebräer Samson vor der Verführerin warnt.“
— The Epoch Times, Rosemarie Frühauf, 16.05.2011

„von bezwingender Solidität: Ante Jerkunica“
— Frankfurter Rundschau, Jürgen Otten, 16.05.2011

„Neben Laurent Naouri und Ante Jerkunica trägt er [Anm: José Cura] maßgeblich zu einem der sängerisch interessantesten Abende der Spielzeit bei.“
KulturRadio, Kai Luehrs-Kaiser, 16.05.2011

„Ante Jerkunica mit profundem Bass!“
— Der neue Merker, Ursula Wiegand, 16.05.2011

„Besondere Stimmkultur beweist der kroatische Bassbariton Ante Jerkunika in der kleinen Partie des Alten Hebräers.“
— Neue Musik Zeitung, Peter P. Pachl, 16.05.2011

„Ante Jerkunica in der Rolle des Alten Hebräers ist mit schönem Baß der klanglich vielleicht überzeugendste Akteur.“
— Nachtkritik, 16.05.2011

„As the Old Hebrew, Ante Jerkunica brought a smooth bass and heated conviction to the role. “
— Radio NPR Berlin FM 104,1, Rebecca Schmid, 24.06.2011


Parsifal/Titurel – Gran Teatro del Liceu Barcelona, 2011

“The surprise of the night was Ante Jerkunica as Titurel who possesses a wonderful and deep bass voice. He has no problems with the low notes of this part.”
— ConcertoNet, Lola Vicente, 01.03.2011

“Among the rest of the cast […] Croatian bass Ante Jerkunica [stood out] for his remarkable, if brief, Titurel.”
— Musicweb International, José Ma. Irurzun, 26.02.2011

“Ante Jerkunica resultó verdaderamente cavernoso, que es lo que requiere el papel de Titurel.”
[Ante Jerkunica war wirklich abgrundtief, das ist, genau was die Rolle des Titurel erfordert.“]
— El País, Xavier Pujol, 22.02.1011

“Ante Jerkunica -con mucho más trabajo actoral de lo normal- fue un buen Titurel.”
[Ante Jerkunica – mit schauspielerisch weit mehr Arbeit, als üblich – war ein guter Titurel.”
— Mundo Clásico, Pablo-L. Rodríguez, 16.03.2011

“Ante Jerkunica fue una sorpresa en el cortísimo papel de Tituriel, excelente voz de bajo profundo, adecuadisima al papel. Grata sorpresa.”
[“Ante Jerkunica war eine Überraschung in der sehr kurzen Rolle des Titurel, ausgezeichnete, tiefe, der Rolle adäquate Bassstimme. Große Überraschung.“]
— Una noche en la opera, 21.02.2011

“Ante Jerkunica ist als Titurel nicht nur eine aus dem Hintergrund mahnende Stimme, sondern tritt als kraftvoll fordernder Akteur im Streit mit seinem Sohn auch auf. Er erzwingt die erste Gralsenthüllung ganz handgreiflich und steht ungerührt neben dem aufgebarten Amfortas, wenn dem Blut aus seiner Wunde abgezapft wird.“
— Online Musik Magazin, Roberto Becker, 02.03.2011

„Neben der guten Kondition und Stärke auch ein bewegendes Spiel. Beides zeigte auch der Berliner Ante Jerkunica als Titurel. Es war eine Wohltat, diese Rolle mal von einem jungen Bass zu höhren, zumal diese Rolle auch durch die Inszenierung ungemein aufgewertet wurde und in ihrer bedrückenden Dominanz (und bei Guth auch quälenden Selbstsucht) restlos überzeugte.“
— Forum Festspiele, 04.02.2011


Parsifal/Titurel – Amsterdam Concertgebouw/NPS Amsterdam, Dezember 2010

“In de rol van Titurel klinkt nu eens niet een bejaarde bas, maar de overdonderend sonore Ante Jerkunica, die boven aan de lange trap de Grote Zaal domineert met zijn imposante stemgeluid.”
[In der Rolle des Titurel klingt einmal kein alter Bass, aber der überwältigend klingende Ante Jerkunica, an der Spitze der langen Treppe dominiert er den Großen Saal mit seiner beeindruckenden Stimme.]
— door, Eddie Vetter, 13.12.2010


Siegfried/Fafner (Rollendebut) – Deutsche Oper Berlin, April 2010

„Da mit Ante Jerkunica auch ein hervorragender neuer Fafner auf der Bühnen stand, geriet der Beginn des 2. Aufzugs (die Szene zwischen Wanderer, Alberich und dem Drachen) zu einem mächtigen Bass-Ereignis. Für mich der etwas unverhoffte musikalische Höhepunkt des Abends.“
— Klassik.com, Dr. Kevin Clarke, 22.04.2010

„Ove večeri Ante Jerkunica briljirao je kao Fafner. […]Njegov je ton miran i sigurno impostiran, a volumen natprosječno širokoga, topovskoga kalibra, tako da bez odveć poteškoća do vrha ispuni posudu kazališnoga kotla.“
— Hrvatski Fokus, Siniša Vuković, 21.04.2010


Rienzi, der letzte der Tribunen/SteffanoColonna  – Deutsche Oper Berlin, 2010

„Uneingeschränkten Applaus gab es dagegen für die Sänger, vor allem für die Solisten Torsten Kerl, Ante Jerkunica und Camilla Nylund sowie für den Chor der Deutschen Oper unter der Leitung von William Spaulding.“
— ddp, 25.01.2010

„Steffano Colonna als Haupt der Familie Colonna wurde von Ante Jerkunica mit kräftigem Bass interpretiert.“
— Opernnetz, Ralph Thenhaus, 30.01.2010

„Ante Jerkunica und Krzysztof  Szumanski verliehen dem Colonna, respektive dem Orsini Profil“
— oper-aktuell,  Kaspar Sannemann, 08.02.2010

„Besetzungszettel liest sich wie vom Feinsten: Szenenbeifall, beispielsweise, für Kate Aldrich (Adriano); und auch Nylond (als Irene), Jerkunica (als Steffano), Carlson (als Orvieto), Bieber (Baroncelli), Bronk (del Vecchio) und Szumanski (als Orsini) klingen recht und gut.“
— Kultur-Extra, Andre Sokolowski, 25. Januar 2010

„Routiniert und stimmlich sehr gut besetzt Steffano Colonna (Ante Jerkunica), Paolo Orsini (Krzysztof Szumanski), Baroncelli (Clemens Bieber), Cecco del Veccio (Stephen Bronk)“
— Der neue Merker, Kerstin Voigt, 05.04.2010

“Die übrigen Herren Colonna (Ante Jerkunica),Orsini (Krzysztof Szumanski), Baroncelli (Clemens Bieber) und del Vecchio(Stephen Bronk) sowie der alte Kardinal Orvieto (Lenus Carlson) bildeten ein gut abgestimmtes Ensemble.“
— Nachtkritik, Horst Rödiger, 25.01.2010


Barbier von Sevilla/Basilio – Deutsche Oper Berlin, 2009

„Markus Brück brillierte mit seiner Figaro-hier-Figaro-da-Suada ebenso wie Ante Jerkunica mit der intelligent vom Lüftchen zum Kanonendonner gesteigerten Verleumdungsarie des Basilio.“
— Neues Deutschland, Irene Constantin, 01.12.2009

„Die Inszenierung dreht dem Ruf nach interpretatorischer Verantwortung von jetzt an eine Nase und gefällt sich darin, die angelegten Stränge unterm Gag-Gesichtspunkt auszuquetschen. Bartolo, der Vormund der Rosina, der sie eigentlich auch heiraten will, sowie Rosinas Musiklehrer Basilio sind Schießbudenfiguren, wenn sie auch von Maurizio Muraro und Ante Jerkunica hervorragend gespielt und gesungen werden.“
— Berliner Zeitung, Peter Uehling, 01.12.2009

„Die beiden Bassisten Ante Jerkunica als Basilo und Maurizio Muraro als Bartolo wussten schauspielerisch mit viel Witz und gesanglich mit ihren wunderbaren Stimmen zu überzeugen.“
— OperInfo-Berlin, Renate Dahms, 01.12.2009


Capuleti e Montecchi/Lord Capulet  – Deutsche Oper Berlin, September 2009

„Ferner imponierte der junge Bass Ante Jerkunica als machtvoller, dunkel getönter Lord Capulet voller Italianità…
… dass das Haus nun mit neuen Namen wie Garancia, Siurina, Jerkunica, Schmunck und Chichon die alte Bellini-Tradition wieder aufleben lässt“
— Klassik.com, Dr. Kevin Clarke, 07.09.2009

„Auch Dario Schmunck (Tebaldo) und Ante Jerkunica (Lord Capulet) wären bei einem Spezialistenfestival, sagen wir: vom Range Pesaros kaum besser besetzt. So wurde dies eine geglückte, wenngleich konzertante Saisoneröffnung.“
kulturradio rbb,  Kai Luehrs-Kaiser, 07.09.2009


La damnation del Faust/Brander – Konzerthaus Wien mit RSO Wien, April 2009

„Exzellent auch die Besetzung der kleineren Partien mit einem Bass, Ante Jerkunica, der dem großen Mephisto als Brander Paroli bieten kann“
— Die Presse, Wilhelm Sinkovicz, 04.04.2009


Aida/König – Deutsche Oper Berlin, 2008

„das fabelhafte Quartett Ante Jerkunica, Raymond Aceto, Zeljko Lucic und Jacquelyn“
— Klassik in Berlin, Heiko Schon, 02.03.2008

„Ante Jerkunica als wundervoll tönender Bass aus dem Off“
— Berliner Theaterkritiken, März 2008


BBC Cardiff Singer of the World 2007

“Ante Jerkunica in the finals of BBC Cardiff Singer of the World 2007
For the first time Croatia is represented at one of the most important competitions for the young opera singers in the world, which has been taking place every other year since 1983 in Cardiff. Bass Ante Jerkunica, who is 29 and comes from Split, will represent Croatia in this year’s final. The competition is open for singers between 18 and 36 years of age who find themselves at the start of their careers. Ante Jerkunica has been chosen in a tough competition. As many as 1000 young singers applied but only 677 of them, from 64 countries, have been invited to audition for this year’s competition.“
— Official Website of Republic of Croatia, www.cz.mvp.hr


Der Freischütz/Eremit – Deutsche Oper Berlin, Mai 2007

„ superbe Ermite de Ante Jerkunica, une basse qui promet si elle parvient à différencier un chant pour l’instant trop uniformément plein“
— Scènes Magazine, Eric Pousaz, 01.07.2007


Fiery Angel/Faust – Theatre de La Monnaie Bruxelles, Januar/Februar 2007

„Vitali Taraschenko vermag bei seinem episodischen Auftritt als Agrippa ebenso zu beeindrucken wie Ante Jerkunica als Faust“
— HR online


Simon Boccanegra/Pietro  – Deutsche Oper, November 2006

„In der nur kleinen Partie des Pietro fällt ANTE JERKUNICA durch schönes Material auf.“
 — Orpheusoper, November 2006


Germania/Pastore Stapps, Palm – Deutsche Oper Berlin, Oktober 2006

„ANTE JERKUNICA sang an diesem Abend neben dem Palm auch noch den Pastor Stapps, beide mit schönem Effekt und Erfolg.“
 — Orpheusoper, November 2006